Seconde guerre mondiale, discours.
Discours : Seconde guerre mondiale, discours.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Laurie Bradet Gagnon • 15 Novembre 2016 • Discours • 2 042 Mots (9 Pages) • 1 419 Vues
Tout d’abord, selon moi la seconde guerre mondiale fut définitivement incontournable et loin de là un guerre de bien contre le mal. Premièrement, elle fut incontournable depuis la fin de la première guerre qui laissa l’Allemagne plutôt amère de sa défaite avec le traité de Versailles dont la plupart estimait de beaucoup trop dur envers celle-ci. Les Allemands désiraient une revanche, récupérer leurs territoires perdus et éviter de payer leur redevances pour les coûts de guerre. Également, le début de la révolution communisme fut pour beaucoup dans l’éclatement des conflits. De nombreux désaccords entouraient la Grande-Bretagne, la France, l’URSS et les USA. Évidemment, ils avaient tous une peur bleu des Bolcheviks qu’ils voyaient comme dangereux au bon maintient de la paix. Le gouvernement des États-Unis refusait même de reconnaitre celui soviétique. De plus, la Grande-Bretagne et la France ne pouvait s’entendre sur les directives à prendre concernant l’Allemagne. Devait-on l’affaiblir afin de prévenir une éminente revanche ou devait-on conserver l’équilibre des pays d’Europe? Pour la France, la réponse était évidente: l’Allemagne devait payer pour les dommages commis. Pour ce qui est de l’Italie, la guerre fut également un incontournable dû à la jalousie de son commandant Mussolini qui enviait les avancements d’Hitler dans sa conquête de la population européenne et des territoires. Il voulait lui aussi établir un empire italien.
Je ne crois pas du tout à la guerre du bien contre le mal. Oui si l’ont regarde en surface cette guerre, on peut croire que le mal représente sans aucun doute les Allemands, les Nazis, Hitler. Mais si l’on creuse et s’informe un peu, on remarque que des pléthores de massacres on eux lieux dans l’Axe tout comme dans les Alliés. Si l’on relate quelques faits comme les femmes nues en Ukraine faisant la queue pour être exécutées, les civiles massacrés à Khar’kov en 1941, l’armée allemande qui prenait les approvisionnements des civils en URSS, en les laissant crever pendant l’hiver. En Yougoslavie, les Croates fascistes qui ont massacré entre 500 000 et un million de Serbes. Oui pour Hitler c’était une guerre de génocide, une guerre d’extermination sans pitié, même pour les enfants, mais c’était de même pour Staline qui pris vengeance à la fin de la guerre de façon monstrueuse et sans pitié. Lors de la prise de la Prusse, si il y avait un signe de Nazisme quelconque, c’était la destruction totale, des familles en entière étaient mitraillées. On violait les femmes, coulait les bateaux qui tentaient d’évacuer, tuait les civiles même de l’air. Les Allemandes vivaient un enfer, mais pour Staline, cela n’était que du donnant-donnant. Plus de 40 000 civils ont trouvés la mort ce qui équivaut aux nombre de mort à Stalingrad en 1942 par les Allemands. En plus, les Anglais et les Américains bombardaient les villes allemandes afin de venir en aide à la Russie ce qui couta plus de 600 000 vies de civils en Allemagne. Pour Hitler, cette guerre était une guerre d’extermination envers les Slaves et les Juifs principalement qui se transforma en bien plus de vies perdues, mais Staline approuva cette vision en massacrant énormément de civils de son côté également. La Russie était rendu une vrai morgue pour les soldats allemands qui jonchaient le sol un peu partout. Donc, chacun à ses tords et une certaine honte à ressentir envers le nombre mastodonte de morts malgré le fait que la guerre n’était pas le désir de Staline en premier lieu.
Pour les ironies de cette guerre, elles sont très nombreuses selon moi. Pour commencer, il est évident que le questionnement: qui est le pire ennemi? est l’ironie la plus marquante de la seconde guerre mondiale. Depuis le début de la guerre lorsque Litvinov tentait de créer la sécurité collective, les autres pays qui avaient intérêts à se protéger de l’Allemagne refusaient ou retardaient tout simplement le moment de donner son accord ou son refus. Laval étant très anti-communiste, croyait que Hitler était la meilleur chance de rapprochement, car il avait peur que la révolution s’installe en France et de ce fait même en Europe complet si l’URSS en sortait victorieux. Il essayait donc de retarder la conclusion d’un pacte avec Moscou. Personne ne voulait réellement avoir affaire avec l’URSS, mais le problème que les anti-communistes observaient est le fait que l’URSS était une mine d’or pour les commerçant. La Russie avait besoin de tout: locomotives, machines, souliers, chemises, aiguilles et elle avait plusieurs trucs a vendre comme du charbon, pétrole, bois et produits agricoles donc l’occident avait besoin.(notes d’histoire) Très ironiquement, un pacte franco-soviétique plus communément appelé: une coquille vide est née. Celui-ci annonçait que si la Tchécoslovaquie était attaquée, la Russie interviendrait que si la France le faisait en premier. Mais la France interviendrait-elle réellement..? Malheureusement non. Litvinov avait perçu le danger d’Hitler dès les premiers signes de pouvoir de celui-ci dans son livre Mein Kampf où il annonçait sont désir d’espace vital et la supériorité du peuple allemand. Litvinov mis donc tout en son pouvoir afin de créer une alliance, mais personne ne semblait en être intéressé. Il fit même un voyage jusqu'à Washington pour signer des accords avec le secrétaire d’État Cordell Hull, car il croyait que les relations soviétiques avec les États-Unis étaient très importantes. (notes histoire) À la suite de discussions avec le président Roosevelt, ils conclurent un « gentleman’s agreement » qui annonçait que L’URSS rembourserait une partie d’un emprunt américain de 1917 en échange d’un nouvel emprunt à l’URSS. Malheureusement, dû aux nombreux fonctionnaires anti-communistes, ce marché fût annulé avant même d’être mis sur pied. À chacune des rencontres pour cette fameuse alliance, les consignes de la Grande-Bretagne et de la France étaient de ne pas se presser, de manipuler les Russes afin qu’ils croient à une alliance dans un avenir proche. En d’autres mots: gagner du temps à tout prix. Une autre ironie est le cas de la Pologne qui fut un complice d’Hitler pendant un bon moment, car elle aussi désirait un morceau de la Tchécoslovaquie. Elle a donc conclut un pacte de non-agression avec l’Allemagne
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