Politique et société

Le monde des catégories populaire

Le peuple des villes

Augmentation du sentiments qu’un fossé se creuse entre ceux en haut de la pyramide et les autres. La disparition de la pauvreté est très largement perdue, l’harmonie social dont rêvait l’empereur n’a pas abouti et c’est un des plus grands échecs de Napoléon III. Cet objectif n’a pas été atteint.

Ce peuple des villes va se faire côtoyer la richesse la plus éclatante et la pauvreté la plus absolu. Cela étant le monde ouvrier n’occupe encore qu’une part modeste, relative de ces pops urbaines. Exode rurale qui se poursuit, mais une part qui reste encore relativement modeste d’artisan, de petit commerçant, d’employer. Tous ces petits métiers qui constituent l’ossature du milieu urbain.

Le large éventail des catégories intermédiaires

Univers des domestiques très important (bonne, cuisinière, cochet…). Pour les trois quarts sont des femmes venant de province. Cela fait des décennies que les paysannes ont l’habitude de monter à Paris pour se nouer de famille plus aisé « foire au servante ». Ces domestiques vivent mieux, conditions plus favorables que la masse des ouvriers ou des paysans. Arrive à faire des économies et arrive à revenir, pourvu d’une dote, dans leur région d’origine. On ne reste pas domestique toutes sa vie contenue de toutes les contraintes pesant sur cette fonction.

La catégorie des employés et des commis.

Employés des compagnie ferroviaire, commerçants des grands magasins, employés des banques, commis, artisans qui restent très nombreux notamment dans le secteur du bâtiment. Artisans dans le domaine des métiers d’art, bijouterie…

Métier lier à la presse ; imprimeur, typographe… Fais de disposer de savoir-faire suite à l’apprentissage. Un certain idéal de petit propriétaire de créer sa propre entreprise ou succéder à son maitre.

Les bouchers et les coiffeurs, le développement de ces catégories est révélateur de leur augmentation de qualité de vie.

Un monde ouvrier divers et précaire

Ce monde ouvrier est extrêmement divers. Une grande partie des ouvriers de l’époque reste de grands paysans, de Cargo, les mineurs de Cargo vont à la mine l’hiver et cultive quand il fait plus chaud. Une bonne partie des ouvriers de l’époque sont à temps partiel des paysans.

Selon le moment de l’année vont pouvoir travailler dans l’armurerie, dans les mines puis une autre partie de l’année dans le tissage, travail différente chose selon la période de l’année. Une majeure partie des ouvriers travaillent à la campagne. Cette grande précarité inquiète la sécurité.

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