Penser la guerre selon la théorie deClausewitz

DISSERTATION

PENSER LA GUERRE AVEC CLAUSEWITZ

RECOPIER LE SUJET (POUR ÉVITER LES ERREURS ET DES FOIS MIEUX COMPRENDRE)

DÉFINIR LES MOTS CLÉS DU SUJET

COMMENCER L’INTRO PAR UNE CITATION

Problématique version courte :

La théorie de Clausewitz est-elle pertinente pour étudier la guerre de son époque jusqu’à nos jours ?

Problématique version plus aboutie :

La théorie de cet officier prussien du début du XIXe siècle, si influente, est-elle pertinente ou caduque pour comprendre les guerres du XXe s., et même celles du monde contemporain, de plus en plus irrégulières, asymétriques ?

Autre problématique :

Selon Clausewitz, « la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens » : cette pensée s’applique-t-elle à toutes les guerres, classiques comme irrégulières ?

POUR LES TITRES FAIRE DES PHRASES

I) La pensée de Clausewitz : de l’expérience à la théorie

Un officier prussien qui connaît la « guerre réelle », sur le terrain, et qui interroge la « guerre absolue »

Un concept fondé sur la trinité peuple / stratégie militaire (hasard et probabilité) / enjeux politiques

II) La guerre comme fait social et surtout politique

La politique conditionne la guerre

La guerre a des conséquences politiques

III) La guerre est un « caméléon »

Des guerres classiques du XVIIIe s. à nos jours, et la question de l’influence de Clausewitz

La théorie de Clausewitz à l’épreuve des guerres asymétriques et guerres hybrides contemporaines

Conclusion :

Clausewitz, qui a tant été lu, interprété, appliqué, détourné (et parfois accusé de favoriser les guerres totales du premier XXe siècle), nous lègue une analyse encore partiellement pertinente. Sa trinité reste une grille de lecture intellectuellement stimulante. Toutefois sa pensée, dont l’étude doit être historicisée, s’avère plus difficile à appliquer dans le contexte contemporain de conflits de plus en plus irréguliers. Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne les guerres civiles, ou bien les guerres entre armées de métier et djihadistes, ou encore les guerres hybrides dont l’actuelle crise syrienne est emblématique. Si la guerre, ou plutôt les guerres dans toutes leurs formes, « caméléon » selon ses propres mots, méritent l’analyse, il est en de même de la sortie de guerre et des défis de construction de la paix.

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