Maison sur l’œuvre Jan Karski de Yannick Haenel

Devoir Maison sur l’œuvre Jan Karski de Yannick Haenel

Partie du livre choisi : Chapitre 1 : thème : les juifs et les ghettos

Le livre Jan Karski de Yannick Haenel est composé de trois chapitres. Le premier chapitre concerne les paroles de Jan Karski qu’il a prononcées lors de son entretien avec Claude Lazmann sur le ghetto de Varsovie. Le second chapitre est dédié au livre de Jan Karski intitulé Histoire d’un État secret. Puis le dernier chapitre est une fiction racontant des passages de la vie de Jan Karski.

A l’aide de l’exemple du ghetto de Varsovie, expliquer si le peuple juif est libre ou contraint d’aller dans ces ghettos mais aussi montrer les conditions de vie dans ce ghetto.

Le 1er septembre 1939, l’Allemagne envahit la Pologne, c’est le début du calvaire pour les juifs polonais. Le 2 octobre 1940 est ordonnée, en Pologne, la mise en place du ghetto de Varsovie. Les ghettos sont des quartiers imposés aux juifs par les autorités politiques de l’État. Les juifs doivent ainsi vivre séparément de la population non juives. Le ghetto de Varsovie était le plus important ghetto juif au sein des territoires européens occupés par les nazis pendant la seconde guerre mondiale. Ce ghetto a été détruit en 1943. Dans ce ghetto de Varsovie vivaient tous les juifs de Varsovie. Il est composé de deux parties, une partie centrale et le reste. Hitler extermine les juifs de Varsovie mais aussi les juifs de toute l’Europe Centrale.

Lors de l’entretien de Jan Karski avec Claude Lazmann, Jan Karski nous parle de la violence envers les juifs. En effet, beaucoup de juifs de Varsovie ont été persécutés et tués. Afin d’empêcher Hitler de continuer l’extermination des juifs, les alliés doivent prendre des mesures.

Dans ces camps, les juifs sont ainsi privés de liberté. Les conditions de vie sont inhumaines dans le ghetto de Varsovie puisqu’il est beaucoup trop petit pour accueillir tous les juifs de Varsovie. En effet, les juifs arrivant dans ce quartier fermé par des barbelés ont parfois perdu leur famille ou leurs biens propres comme leur maison.

Aussi, ce quartier est invivable car les juifs ne sont pas ou mal approvisionnés en nourriture et en combustible permettant ainsi de se chauffer. Sans nourriture, la famine va vite apparaître dans le ghetto. En évoquant son passage «  des femmes, avec leurs bébés, elles allaitent en public, mais elles n’ont pas… pas de seins… c’est plat », Jan Karski montre que ces femmes souffrent tellement de la famine qu’elles en subissent des traces sur leur corps.

A l’intérieur de ce ghetto, la mort est souvent présente à cause de la faim extrême du peuple mais aussi des épidémies. En effet, le manque d’hygiène entraîne des odeurs nauséabondes et des maladies mortelles. A plusieurs endroits dans le ghetto des gens étaient en train de mourir, on les voyait mourir. Le ghetto se remplit de cadavres. Lorsqu’une personne juive meurt, si sa famille veut une sépulture, elle doit payer une taxe. Comme les familles n’ont pas les moyens de payer alors on jette les morts dans la rue. L’idée principale du ghetto, qui est « des corps nus dans la rue », montre le désastre présent par les cadavres.

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