Lutte ouvrière et mouvement ouvrier pendant « les trente glorieuses »
Résumé : Lutte ouvrière et mouvement ouvrier pendant « les trente glorieuses ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nico63730 • 16 Novembre 2022 • Résumé • 3 628 Mots (15 Pages) • 399 Vues
Cm du 01/10/2022
CM COMTEMPORAIN :
Lutte ouvrière et mouvement ouvrier pendant « les trente glorieuses »
Introduction
Mouvement ouvrier : il s’identifie au mouvement social entre les années 30 et 1968 ds la mesure où les ouvriers sont au cœur du mouvement social ; l’ensemble des interventions collectives destiné a transformer les conditions d’existence de leurs acteurs, de contester les hiérarchie ou contestation social et générer des sentiments d’appartenance.
Le mouvement ouvrier : l’ensemble des institutions élaborer par la classe ouvrière, composé d’une pluralité d’organisations (des associations, syndicats, partis politiques, autour des relais politique : club de sociabilité, de loisir, de jeune ; des coopératives ; les comités d’entreprises), des organisations de soutiens : imprimerie, maison d’édition (communiste).
La centralité de la classe ouvrière : concept forgé par Xavier Vignats, noyau dure du salaria et l’acteur privilégié de l’émancipation social. Au-delà d’une diversité pro, de catégorie, des branches industrielles : mines, automobiles, aéronautique. Homme et femme confronté à la rationalisation et intensification de la productivité qui se concrétise par une hausse des cadences de travail.
« Trente glorieuse » terme inventé par jean Fourastié en 1979 : la révolution invisible de 1966 à 1975. Il montre également la modernisation de l’agriculture et dev de la consommation et de nouveau comportement associé à la modernité. Or ce terme est forgé dans un certain contexte éco. Le second choc pétrolier, le dev de chômage de masse, l’accroissement des inégalité, et donc dans ce contexte les trente glorieuse vont devenir une sorte d’âge d’or de la croissance et la modernisation de l’éco société . Pour les historiens il s’agit de déconstruire cette mémoire de modernisation d’après guerre , en effet cette période est marqué par un fort dev mais elle a aussi été marqué par des crises social : Nantes , Saint- Nazaire qui témoigne de la résistance face a ce concept. Les différences de consommations ce sont maintenue entre les catégorie social et les inégalité salariale.
Maitriser les temps forts des luttes ouvrières, de comprendre les type de revendication et saisir ce que l’on appelle le répertoire des actions collectives mises en œuvre et les acquis.
I)La place des ouvriers dans le mouvement ouvrier :
A) Le PCF et son enracinement dans la classe ouvrière : entre le mythe et la réalité
1 : une génération ouvrière singulière
Gérard Noiriel
La date de 1954 correspond en France ou le taux d’industrialisation en France est le plus élevé et également le taux d’ouvrier la plus forte , de 1950 a 1960 homogénéisation et stabilisation de la classe ouvrière de la grande industrie et qui explique l’enracinement du PCF au sein du paysage politique. Cette stabilisation s’explique aussi par l’amélioration des zones pavillonnaire et la stabilisation des cité construite par la patronat de l’industrie lourde, c’est aussi un monde ouvrier ou il y a une hérédité professionnelle, ex : en 1954 a Lille 80% ne prolonge pas leurs scolarité après le certificat d’étude primaire. Une partie des ouvriers rentré dans la vie active après la SGM sont dans des emploies plus qualifié car ils possèdent le CE. Les grand bastion industrielle qui se sont fré à partir des année 30. Ces ouvriers jouent un rôle essentielle dans le renforcement d’une identité de classe qui est affirmé par le PCF et la CGT et qui est consolider également par la famille. C’est une période ou il y a une consolidation de la culture ouvrière et qui est fondé sur la valeur des liens de solidarité et pèse dans la vie publique grâce au PCF, en effet dans les années 50 1 adhèrent sur 2 était ouvrier et 2 /3 des secrétaire fédéraux était ouvrier. Le PCF a donné accès a la politique grâce au école du PCF avec des cours de culture politique. D’autre part c’est une période ou le PCF a une influence sur le syndicat de la CGT et ou les municipalité Communiste sont très nombreuse et ou il offre au adhérent des engagement varié comme des réunion de cellule, la préparation de la fête de l’humanité qui est une grande rencontre des classes populaire, rédaction d’article et journaux comme l’humanité (PCF) et la vie ouvrier (CGT), org en syndicat, Les municipalité communiste sont les premières à vouloir la culture pour tous. Le PCF fait part l’intermédiaire de ces député a l’ AN fait pression sur l’état centrale et engage les ouvriers a faire des grèves , manif pour améliorer sont sort.
2 : Des limites
Xavier Vignat : il indique que l’âge d’or du communisme ouvrier correspond à la période des années 50 (51 56) effectivement presque la moitié des ouvrier vote pour le PCF mais les effectifs d’adhérent ouvrier au PCF s’élève a 275 000 adhérent alors que la France compte près de 6,4 millions d’ouvrier. Les ouvrier vote aussi pour la CGT. Il continue a s’identifié a ses 2 orga car les adhérent CGT de base ont crée négocient dans les usine et on dénoncé très tôt dans le milieu automobile la hausse de la cadence de travail ceux qui permet de nuancer le tableau.
B) l’empreinte du socialisme
D’autre part a cette période le monde ouvrier entretien des liens encore avec le socialisme et le CFIO en effet les ouvriers dans les années 50 constitue 1 /3 des militant socialiste, la CFIO recueil 17% des suffrage ouvrier.
C) l’ouvriétisation de la CFTC
La CFTC est divisé entre une minorité de jeune ouvrier de la tendance de reconstruction de Paul Vigné ? ils veulent redéfinir la place de la CFDT dans le mouvement ouvrier et souhaite une déconfessionnalisation ; la majorité fonctionne autour de Gaston Tessier. D’autre part a partir de 1950, la CFDT s’ouvriérise c a d forte progression de la part des ouvriers chez la CFTC , notamment chez PEUGEOT et SOCHAUX , on observe également une forte progression de la CFTC a Michelin a CLF ,
des ouvriers en dehors du mouvement : un conservatisme ? Une démobilisation ?
Fraction d’ouvrier attaché a la politique paternaliste des patrons qui se manifeste par l’adhésion au syndicalisme indépendant. Il s’oppose a la CGT, CFTC et est perçu comme un syndicat proche du patronat. Un 1/3 des ouvrier vote pour la droite , centre droite/ le RPF. C’est un monde ouvrier plus bigarré
II) Les mobilisation ouvrière de libération au début de années 1960 : l’affirmation des revendication salariales :
A) La crise de l’automne 1947 : un mouvement social insurectionel ?
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