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L’intégration à la mondialisation de deux États africains : Maurice et la Côte d’Ivoire

Dissertation : L’intégration à la mondialisation de deux États africains : Maurice et la Côte d’Ivoire. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Février 2017  •  Dissertation  •  1 344 Mots (6 Pages)  •  1 520 Vues

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Sujet : l’intégration à la mondialisation de deux États africains : Maurice

et la Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire, est un pays membre de l’Union Africaine. Elle a pour

superficie 322 462 km²

Elle est limitée au nord par le Mali et le Burkina Faso, à l’ouest par le Liberia

et la Guinée, à l’est par le Ghana et au sud par l’Océan Atlantique. La

population est estimée à 26 578 367 habitant. La Côte d’Ivoire a pour capitale

politique et administrative Yamoussoukro ; Abidjan est son principal centre

économique. Elle a pour langue officiel le Français.

Maurice est un État de l’Océan Indien, situé à environ 881 kilomètres à l'est de

Madagascar. Il se compose de l’île Maurice, de Rodrigue (560 kilomètres à

l'est), des îles Agalega et de l'archipel de Saint Brandon. La superficie totale du

pays est de 2 040 km². La capitale est Port Louis.

Le document intitulé « Le Miracle mauricien », est extrait du livre « in Images

économiques du monde », paru en 2012. L’auteur est François Bost. Ce

document évoque la production du pays, ainsi que les échanges à travers le

monde, mais aussi la délocalisation et le principe de zone franche, qui devient

un inconvénient et provoque par la suite l’échec du pays.

Le document intitulé « La spirale négative ivoirienne » est un extrait du livre

« L’Afrique », paru en 2009, dont l’auteur est Charles Bardot. Ce document

évoque le coté productif qui ressemble beaucoup à Maurice, qui est une

réussite pour le pays, mais cela ne vas pas durée puisque vers la fin du texte est

évoqué la présidence; qui joue un rôle important dans la prospérité du pays; et

cela va entraîner le naufrage du pays qui était au début un « miracle ivoirien ».

A travers la problématique suivante, de quel manière se fait l’intégration de

deux États africains, Maurice et la Côte d’Ivoire, au regard de la bonne

gouvernance ?

Pour répondre à cette problématique, nous verrons en première partie les

critères de l’intégration de l’Afrique à la mondialisation et en deuxième partie,

deux histoires opposées au regard de la bonne gouvernance.

Tout d’abord, l’Afrique reste sans conteste le continent le plus pauvre. Ici la

Côte d’Ivoire doit son succès sur un développement fondé, sur l’ouverture des

échanges extérieure du pays, ainsi que l’ouverture aux flux de travailleur

étrangers. Le coté productive de la Côte d’Ivoire ressemble beaucoup à celui de

Maurice, on mise beaucoup sur l’agriculture de plantation en Côte d’Ivoire, ce

qui provoque un décollage d’industrie de première transformation des produis

agricoles. Leur stratégie mêle secteur privé et l’intervention de l’État qui jouent

aussi un rôle de grossiste et garantie par la suite un prix d’achat aux

cultivateurs. Tout cela provoque un succès pour le pays, une évolution de

croissance est constaté de 1960-1970, on parle même d’un « miracle ivoirien ».

Maurice connaît aussi un succès après son indépendance en 1968, avec ses

exportations sucrier, de textile, une politique de diversification autour du

tourisme et de l’exportation des biens manufacturés au travers d’un régime de

zone franche très attractif. Mais celui-ci va connaître aussi un succès grâce à la

volonté d’ériger le pays comme un hub maritime, le transport et la logistique

sont fondamentaux pour les échanges internationaux, sa position est un

avantage dans la mondialisation, sur le tracé de routes maritimes entre l’Asie et

L’Afrique, mais elle a aussi un avantage dans l’économie avec la montée de

services proposés à l’ensemble du monde ; centre d’appels vers l’Europe pour

une population maîtrisant l’anglais et le français...

Malgré ces succès qui ont pus faire évoluer ses deux États Africain, ils

connaissement malheureusement des échecs, par exemple Maurice met en

place des activité en zone franche, l’État ne prélève aucun revenu sur les

produits bruts importés ( le fil de coton, le textiles), mais il prélèvent des taxes

sur les bénéficiaires et des impôts sur les salaires. L'image de la zone franche

est alors tellement mauvaise que les employeurs sont obligés de proposer des

salaires plus élevés pour trouver des candidats. Le fait que ces activités de

transformation et de montage soient à fort coefficient de main-d'oeuvre signifie

que la concurrence s'exerce essentiellement au niveau des prix et, comme les

coûts salariaux représentent une part importante de l'ensemble des dépenses,

elles cherchent à les contenir, ne voyant pas dans la main-d'oeuvre une

ressource à valoriser. Rares sont les gouvernements qui ont su appliquer des

mesures permettant de faire en sorte que les investissements réalisés dans les

zones entraînent un transfert de technologie et de compétences bénéficiant à

l'industrie et aux travailleurs locaux, ce qui a pour résultat que le capital

humain est peu valorisé.

En revanche, pour la côté d'Ivoire, son échec est de nature politique,

économique et sociale. La mort d’un leader de l’indépendance provoque une

...

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