Les mémoires de la seconde guerre mondiale

Chapitre 1 : Les mémoires de la seconde guerre mondial.

Introduction :

Nous avons panthéonisé Simone Veil en Juillet 2018, qui en 1974-1975 fait voté l’IGV (Interruption Volontaire de Grossesse) mais c’est aussi une déportée à l’âge de 16 ans à Auschwitz avec sa sœur et sa mère. Le reste de la famille a été aussi déporté en Europe de l’Est et furent tous tués, y compris sa mère. C’est donc une déportée qui a connu la Shoah (Extermination des Juifs par les Nazis pendant la Seconde Guerre Mondiale). Cette panthéonisation montre donc une mémoire vivante de la guerre. Une mémoire est un élément subjectif qui tente à rappeler le passé d’un groupe. Elle tend aussi une mémoire à soutenir les intérêts du groupe (qu’ils soient moraux ou matériels). La mémoire s’oppose à l’histoire qui est objective, elle doit embrasser l’ensemble du passé d’une société. Par ailleurs, l’histoire se veut aussi scientifique : c’est une science humaine, qui donc, interroge le passé en employant les méthodes les plus rigoureuses possibles. L’histoire est critiquée et se critique sur elle-même également.

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