Les fluctuations climatiques en Europe entre le Moyen-Âge et XIXe siècle
Chronologie : Les fluctuations climatiques en Europe entre le Moyen-Âge et XIXe siècle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar valtech • 12 Octobre 2021 • Chronologie • 600 Mots (3 Pages) • 1 717 Vues
Les fluctuations climatiques en Europe entre le Moyen-Âge et XIXe siècle :
Depuis le Moyen-Âge, nous constatons des périodes de variations climatiques plus ou moins importantes. Nous pouvons noter par exemple l’Optimum climatique médiéval ou le Petit âge Glacier. Ces deux périodes représentent les moments où les températures ont connues des différences significatives. Ces changements ont eu des impacts considérables sur les populations et ont obligé les sociétés à constamment trouver des solutions aux problèmes qui en découles. Dans un premier temps, j’évoquerai les périodes de changement climatiques les plus importantes, ensuite, je parlerais des différentes conséquences du changement climatique et je terminerais par expliquer les mesures prises par les pays pour empêcher l’aggravation du changement climatique.
Quels impacts sur les sociétés les fluctuations climatiques ont-elles eu ?
- Les périodes de changement climatique
Dès le Moyen-Âge, nous constatons déjà des changements climatiques. L’Optimum médiéval (vers 800 à 1300) a représenté la première anomalie climatique selon les scientifiques. Il s’est caractérisé par l’augmentation de la température de 0,2 degré par rapport à la température moyenne. Lors du Petit Âge glaciaire (1500), les températures ont diminuées de l’ordre de 0,6 à 0,6 par rapport à la température moyenne. Depuis la révolution industrielle du 18e siècle jusqu’à aujourd’hui, on observe que la température à tendance à augmenter de plus en plus et à un rythme jamais vu. En effet, cette augmentation drastique se déroule sur un temps très court comparé aux deux majeures parties considérées comme « importantes » au niveau des changements climatiques (aire post révolution industrielle).
- Les conséquences du changement climatique
Les effets du réchauffement climatique se remarquent dès le Moyen-Âge avec notamment plusieurs disettes. Les cultures étant bouleversées par se réchauffement de quelque dixième de degrés peinent à résister et sont récoltées en quantités très minimes. On remarque une hécatombe au niveau des élevages car les animaux souffrent de la chaleur. Lors du Petit Âge glaciaire, le constat est le même, les récoltes ne résistent pas aux baisses de températures. Les animaux ne sont pas épargnés et meurent en grand nombre. Seuls les animaux les plus résistants aux températures plus rudes comme les moutons parviennent à résister. Nous constatons depuis la révolution industrielle que la température augmente. Cela semble beaucoup plus visible à partir des années 1970 lorsque nous commençons à assister à la fonte des glaciers. L’augmentation de la température à pour cause de faire fondre la glace de la banquise et des glaciers. Cette augmentation sur un court terme va empêcher à plusieurs espèces de s’adapter, et va donc entraîner plusieurs extinctions d’espèce. On remarque aussi la montée des eaux due à la fonte des glaces
- Les Mesures prises par les pays
Au Moyen-Âge, les autorités au pouvoir ont choisi de mettre en place un système d’approvisionnement des vivres. Chaque récolte étaient scrupuleusement vérifiées et mesurées, puis ensuite redistribuées en quantités égales entre chaque citoyen. Bien sûr, il y avait des moments ou les récoltes étaient différente et imposaient donc de donner moins aux personnes.
Nous remarquons depuis la fin du XXe siècle l’émergence d’une gouvernance mondiale climatique. Plusieurs pays se mettent en accord afin de trouver des solutions au changement climatique. Beaucoup d’actions sont mises en place afin de limiter le réchauffement climatique (uniquement à partir du XXIe siècle). Beaucoup de points de vue différents s’affronte dans la façon de vouloir mieux contrôler ces changements climatiques. On retiendra principalement la volonté de la plupart des pays du monde dans le fait de s’investir dans les énergies renouvelables et les énergies vertes (moins polluantes), mais aussi, la volonté générale de limiter l’augmentation des température à 1,5 °C au-dessus de la température moyenne.
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