Les Mémoires d'Hadrien, Marguerite Yourcenar

Introduction Marquant Chloé 1G4

« Certains se font de la poésie une idée si vague qu'ils prennent ce vague pour l'idée même de la poésie. » Paul Valéry, poète, écrivain et philosophe du début du 19e siècle.

Nous allons voir que, dans le roman Mémoires d'Hadrien (1951), Marguerite Yourcenar fait écrire au narrateur : "Les poètes nous transposent dans un monde plus vaste ou plus beau, plus ardent ou plus doux que celui qui nous est donné, différent par là même et en pratique presque inhabitable." Dans quelle mesure cette réflexion vous semble-t-elle éclairer votre lecture des Fleurs du mal de Baudelaire, et le parcours associé ?

Marguerite Yourcenar, fait écrire cette phrase en fessant un oxymore car pour elle les poètes on pour but de nous emmener dans un monde idéal, dans un monde sans encombre, c’est ce que fessait les poète romantique à partir du 17e siècle, avec la poésie traditionnel et une vision idéaliser de ce qui les entourent, sans embuche et avec grâce. Mais il y a aussi ce qu’on peut appeler les poète maudit, apparut au 19e siècle avec le poète le plus connus pour sont spleen et sa poésie moderne, Charles Baudelaire qui est un poète Français née à Paris en 1821 et mort en 1867, il représente la poésie moderne et réaliste en peignant le tableaux de femme pécheresse, de petite vertu dans c’est poème notamment dans Les Fleurs Du Mal.

Ce qui nous amènent, a nous poser la question suivante, comment le vaste et le beaux ou l’arde et le doux sont-ils représenter d’après Baudelaire dans les Fleurs Du Mal, comme la boue et l’or ?

Tout d’abord, nous allons voir ce qui explique tout c’est oxymore dans Les Fleurs Du Mal et en contre partie ce que recherche Baudelaire, ensuite nous verrons par quoi ou qui sont destiner c’est contradiction, et enfin qu’elle impacte a eu Les Fleurs Du Mal dans la société et pourquoi.

I/ les alliances de mot de Les Fleurs Du Mal

- Baudelaire glorifie et en même temps dévalorise la femme (ex= poème « a une mendiante rousse » p129

= « pauvreté / beauté »v3/4 « corps maladif / a sa douceur »v6/8 )

- le spleen mais pour temps la gaieté

- B finit le recueille avec un épilogue, resté inachevé ou il dit « Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or » ce qui montre bien que tout le recueil est basé sur ça, les figure de style, les oxymores, le parallèle entre la réalité et le fantasme…

« Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or » = 2 interprétat° = 1- L’or de la boue ex : dans « Allégorie », une prostituée « femme belle et de riche encolure / Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure »

2- La boue et l’or. Dans « L’Amour et le crâne », on voit l’Amour régner sur les hommes

II/ les oxymores, et la personne a qui ils sont attribuer

-Jeanne Duval est l’une des muses de B, B l’a toujours profondément aimé jusqu’à ces derniers jours. Elle était sa vénus noire = poème : Parfait exotique « Je respire l’odeur de ton sein chaleureux » v2

Jeanne

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