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Le renouvellement par Apollinaire de la poésie lyrique à travers les poèmes étudies et l'image de la femme

Analyse sectorielle : Le renouvellement par Apollinaire de la poésie lyrique à travers les poèmes étudies et l'image de la femme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  13 Mars 2017  •  Analyse sectorielle  •  1 156 Mots (5 Pages)  •  3 674 Vues

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Problématique : le renouvellement par Apollinaire de la poésie lyrique à travers les poèmes étudiés et l’image de la femme. 

Perspective dominante : la spécificité de l’écriture poétique.

Perspectives complémentaires : étude des genres et des registres : l’énonciation lyrique et le « je » apollinarien.  

ŒUVRE COMPLÈTE : Guillaume Apollinaire Alcools

  1. « Le pont MIrabeau »
  2. « La Chanson du Mal-Aimé »
  3. « Nuit rhénane »
  4. « Mai »
  5. «Salomé »

PROBLEMATIQUES pour l’épreuve orale

« Le pont Mirabeau »

Dans quelle mesure Apollinaire parvient-il à allier dans ce poème tradition et modernité ?

Dans quelle mesure ce poème est-il emblématique du lyrisme d’Apollinaire ?

Comment s’entremêlent les thèmes de l’eau, du temps et de l’amour ?

Dans quelle mesure la forme est-elle ici signifiante, porteuse de sens ?

Dans quelle mesure ce poème,  musical, fait-il entendre la chanson d’un mal-aimé ?

Dans quelle mesure ce poème,  musical, s’apparente-t-il à une chanson de toile, une ritournelle ?

Comment Apollinaire parvient-il à créer un lyrisme neuf et original ?

Dans quelle mesure ce poème s’inscrit-il sous le signe de la répétition et de la circularité ?

Dans quelle mesure ce poème est-il placé sous le signe de la liquidité et de la fluidité ?

Dans quelle mesure ce poème est-il placé sous le signe de la liquidité et de la déliquescence ?

Dans quelle mesure les ambiguïtés poétiques, les archaïsmes, le rythme, les sonorités et l’énonciation choisie font-ils entendre une discrète élégie ?

Dans quelle mesure Apollinaire renouvelle-t-il dans ce poème le poncif de la fuite du temps et des amours ?

Dans quelle mesure ce poème est-il aussi un poème du temps ?

Dans quelle mesure ce poème orchestre-t-il un conflit entre fuite généralisée du temps et désir de permanence ?

Dans quelle mesure ce poème oscille-t-il entre fluidité et immobilité ?

« La Chanson du Mal-Aimé »

Dans quelle mesure ce poème fait-il entendre la chanson d’un mal-aimé ?

Dans quelle mesure ce poème orchestre-t-il une tension entre Idéal et Réalité ?

Dans quelle mesure le recours à la médiatisation sert-il l’expression d’un lyrisme particulièrement original ?

Dans quelle mesure ce poème s’ancre-t-il dans un décor à la fois réaliste et aux frontières du réel ?

Dans quelle mesure ce poème fait-il entendre une discrète plainte chantée ?

Dans quelle mesure ce poème est-il emblématique de la modernité qu’apporte Apollinaire à la tradition poétique ?

Dans quelle mesure peut-on qualifier de « cubiste » l’esthétique mise en oeuvre dans ce poème ?

« Nuit Rhénane »

Dans quelle mesure ce poème exprime-t-il une  conception dionysiaque de l’inspiration poétique ?

Dans quelle mesure le 1er et le dernier vers de ce poème le résument-ils, de la naissance du sortilège lié au vin à son abolition ?

Dans quelle mesure ce poème est-il une figuration, et peut-être une transmutation, symbolique et poétique de la souffrance amoureuse vécue ?

Dans quelle mesure ce poème peint-il un paysage poétique et un paysage mental ?

Dans quelle mesure ce poème établit-il une correspondance harmonieuse entre un imaginaire général (le fonds légendaire germanique) et l’expérience particulière du poète victime ?

Les légendes servant de point de départ à l’invention poétique que ce poème figure parfaitement, montrez que « Nuit rhénane » fournit à Apollinaire une sorte d’explication, de justification mythique de l’inspiration poétique, où l’on retrouve les éléments du mythe antique de Dionysos

Dans quelle mesure ce poème dionysiaque, dans le fond et dans la forme, déroule-t-il  le charme d’un envoûtement, dans le cadre d’une poésie originale, mêlant la tradition et « l’esprit nouveau » ?

Dans quelle mesure ce poème est-il une illustration de la puissance magique du verbe ?

Dans quelle mesure la magie réside-t-elle à la fois dans l’écriture et la composition du poème ?

Dans quelle mesure les images du cercle, du miroir et le refus du mouvement permettent-ils de rendre compte de ce poème ?

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