L'histoire face aux mémoires de la seconde guerre mondiale

I – LE TEMPS DE LA HIÉRARCHISATION DES MÉMOIRES

Apres le libération de la France de l’occupant allemand Le régime de vichy est mis entre parenthèse. De Gaulle le qualifiera même de « nul et non avenu », forgeant ainsi le mythe resistancialiste. Il s’agit d’une notion forgée par Henry Rousso Selon laquelle la France aurait été intuitivement et dans sa totalité résistante face a l’Allemagne nazie.

Pour restaurer la cohésion de la nation des groupe de résistant

-1944 une épuration dit sauvage qui sera par la suite légaliser par le GPRF.

La mémoire officielle montre donc une l’image d’une France forte unie et résistante.

exaltation des héros résistant la panthéonisation de jean moulin en 1946.

De plus le mythe resitancialiste est soutenue par le partie communiste qui se prônait comme « le parti des 75 000 fusillés. Exagération du nombre de mort montre bien la grande implication du partie communiste au sein de la guerre.

Les mémoires des déports de la Shoah est confondu avec le souvenir global de la déportation.

Nuit et Brouillard de Resnais 1956 a censure a enlevé l’image Dun policier francisa qui gardait le camps de pithiviers afin d’occulter la participation de la FR dans la déportation.

L’histoire de Vichy 1954 avec sa thèse de la grève et bouclier ou il passe sous silence la politique collaborative de la France.

Cependant d’autre mémoire ont été occulté comme celle du génocide des tziganes;Et d’autre minorités. L’historienne Evelyne parlera de mémoire repliée.

II – LE TEMPS DE L’ÉCLATEMENT MÉMORIEL

Après cette première phase d'amnésie collective le mutisme délibéré s'ouvre une nouvelle période à la fin des années 1960.

Le film documentaire de Marcel Ophûls le chagrin et la pitié diffusé en 1971 montre que les Français ont adopté une attitude attentiste. Il tourne donc le dos au mythe résistantialiste.Par conséquent il été interdit de diffusion pendant 10 ans puisque cela montre une image d'une France lâche égoïste.

Puis c'est autour des historiens de revoir le rôle de Vichy pendant la guerre. La France de Vichy de l'historien Paxton Paris en 1973. Il démontre la responsabilité de Vichy dans la disparition des juifs.

Un contexte nouveau pour la mémoire juive s'ouvre alors. Le procès Eichmann 2961 constitue un tournant. La mémoire du génocide ignorais jusqu'alors devient constitutifs de l'identité juive. Cela passe par la création de la FFDJF et de la publication du mémorial de la déportation des juifs de France par Karsfeld. D'autres part le documentaire soit de Lanzmann en 1945 fait approcher le spectateur au plus près de la connaissance des chambres à gaz

Visibilité publique de la dimension du génocide juif.

En réaction face à la reconnaissance de l’enjeu mémoriel juif, le champ médiatique va être occupé par le révisionnisme qui conteste le génocide.

1978 : interview de Darquier de Pellepoix dans L’Express.

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