Dissert l'historien et la guerre dAlgérie en France et en Alge=érie

                     L'historien et les mémoires de la guerre d'algerie en Algerie et en France.

        L'histoire et les mémoires sont deux approches différente du passé mais qui se complètes. L'histoire est un travail objectif qui se base sur plusieurs sources comme les archives ou les memoires. La mémoire est au contraire subjective et pas tres fiable.

La guerre d'Algerie est une guerre indépendance qui s'est déroulé de  1954 a 1962 et qui s'est fini par les accords d'Evian signé par Charles de Gaulle. Les memoires longtemps occulter (France) ou sublimer (Algerie) ont commencer a se réveiller plusieurs années apres la guerre ce qui a conduit a des travaux historiques.

Quelles sont les differentes mémoires et comment ont-elles evoluer en France et en Algerie ?

Nous allons voir dans une premiere partie qu'en France la guerre d'Algerie a longtemps été occulter et que c'est toujours un sujet difficile et nous verrons dans une deuxième partie qu'en Algerie la mémoire a au contraire été idealiser et revendiquer.

       En France, dans les années 60 la guerre a été occulter et diviser.

 Tout d'abord, les mémoires etaient diviser. Il y avait d'un coté les soldats et les pieds noirs qui voulaient garder l'Algerie francaise et d'un autre les algeriens en France qui etaient content de la fin de la guerre et de l'independance. Les harkis ont eux estimer que la France ne leur avait pas donner ce qui leur etaient promis ( un acceuil et une pension). Le reste de la population etaient partager par exemple l'OAS ( organisation armée secrete) etait contre l'independance et les communistes pour.

La France a préféré l'oubli : on parlait « d'evenements d'Algerie » et non d'une guerre, toutes les publications concernants la guerre etait censurer comme par exemple le livre La question de Henri Alleg, un militant communiste qui été torturer par l'armée francaise.

      Ensuite, les mémoires ont commencer a se reveiller a partir des années 70.

De nombreux elements en sont a l'origine ;les historiens ont commencer a s'interroger sur la torture ( Pierre Naquet-Vidal avec son livre La torture sous la Republique (1972) et Sylvie Thenault) ou ont re-analyser des evenements comme le 17 octobre 1961 ( les policiers parisiens ont fait entre 50 et 200 morts en réprimandant une manifestation d'algerien). Les enfants d'harki ont egalement demander des explications et des réparations a la France.L'art a aussi apporter son soutient avec nottament un film, La guerre sans nom, (1992) de Bertrand Tavernier

     Finalement de nombreux progres ont ete fait a partir des annés 90 .

En 1999 l'Assemblée Nationale a reconnut par une loi les termes « guerre d'Algerie ». En 2001 Bertrand Delanoe a inauguré a Paris une plaque en mémoires des disparus du 17 octobre 1961.En 2002 le president Chirac a inauguré deux poteaux lumineux faisant defiler le nom de 23.000 soldats dont 3.000 harkis Quai Branly et en 2003 le 5 decembre et déclarer journee d'hommage au morts pour la France en Afrique du nord ( mais la date ne correspond a rien).Le president Hollande a reconnu en 2014 que Maurice Audin,un communiste qui s'est rangé du cote du FLN, etait mort pendant sa detention et en 2018 le president Macron a reconnu qu'il avait ete torturer par l'armée francaise.Les progres viennent aussi de la societe ; en 2000 la presse a fait témoigner les généraux Aussarress et Massu qui ont avoué avoir torturer pendant la guerre. Des associations comme la FNACA ( federation nationale des anciens combattant en algerie) ont militer pour que la guerre soit enseigner dans les ecoles et d'autres associations cherche a entretenir les memoires.

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