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Definitions sur le monde colonial européen

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Par   •  19 Février 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  664 Mots (3 Pages)  •  721 Vues

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TP1 : Les modifications physiologiques lors d’une activité sportive

ACTIVITE 1 :

Etape 3

Etape 1 :

[pic 1]

On remarque que la consommation de dioxygène au repos est entre 0.0 et 0.4 Litre pendant la première minute. Puis lors de l’effort la consommation augmente et passe de 0.4 à 0.9 Litre. Nous voyons aussi que la consommation de dioxyde de carbone au repos est entre 0.0 et 0.3 Litre durant la première minute. Pendant l’effort cette consommation augmente et passe de 0.3 à 0.9 Litre. Nous remarquons également qu’après l’effort, le volume de dioxygène et de dioxyde de carbone sont en perpétuel augmentation jusqu’à la fin de notre expérience (4 minutes). De plus, l’intensité respiratoire lors de la période d’effort atteint un pic 1.4 litre d’O2.h-1.kg-1 pendant 20 secondes. Avant et après l’effort elle se stabilise.

Etape 2 :

On voit que le volume courant est de 1.04 Litre, le volume courant est ici la respiration normale d’un humain. La réserve expiratoire est de 0.84 Litre il s’agit ici du volume d’air expiré par l’humain. La réserve inspiratoire est de 0.71 Litre, c’est ici le volume d’air inspiré par l’humain. Le volume résiduel est de 1.26 Litre. Ce qui nous donne un volume d’air inspiré de 5.06 Litre et le volume d’air expiré est de 5.51 Litre. On remarque alors que le volume d’air inspiré et expiré sont pratiquement égaux comme celui de la réserve expiratoire et inspiratoire.

[pic 2]

Etape 3 :

Nous remarquons que la fréquence respiratoire est plus élevée à l’effort (28 cycles par minute) qu’au repos (14 cycles par minute) ce qui est normal car l’individu a besoin d’une plus grande fréquence respiratoire pendant l’effort. Le volume d’air courant est aussi plus élevé à l’effort (1.5 Litre d’air inspiré/expiré) qu’au repos (1.1 Litre d’air inspiré/expiré) ce qui est normal car l’individu a besoin d’un plus grand volume d’air pendant l’effort. Le débit ventilatoire est plus élevé à l’effort (42 Litre d’air par minute) qu’au repos (15.4 Litre d’air par minute) ce qui est normal car l’individu a besoin d’un plus grand débit ventilatoire pendant l’effort. Nous remarquons de plus que plus l’humain connait de cycle respiratoire plus son volume d’air et son débit ventilatoire deviennent élevés.

[pic 3]

Etape 4 :

L’organisme assure un meilleur approvisionnement des muscles en dioxygène lors d’un effort physique car :

  • Le débit ventilatoire a besoin de beaucoup de dioxygène lors de l’effort (pendant l’expérience 15.4 Litre d’air par minute au repos et 42 Litre d’air par minute à l’effort).
  • L’intensité respiratoire demande également beaucoup de dioxygène pour à la suite le consommer.
  •  La fréquence respiratoire augmente lors de l’effort (pendant l’expérience le nombre de cycle double) elle demande alors plus de dioxygène qu’au repos.
  • Le volume d’air courant lors de l’effort augmente son amplitude de cycles
  • Le rythme cardiaque s’accélère ce qui fait circuler le sang donc le dioxygène plus vite jusqu’au muscle.

ACTIVITE 2 :

Bilan : Lors d’un effort physique l’organisme peut réponses aux besoins des muscles de plusieurs façon. En effet les muscles ont besoin de plus de dioxygène donc de plus de sang avec une fréquence cardiaque plus élevée pour que le dioxygène arrive plus vite dans les muscles. De plus la fréquence cardiaque, le débit cardiaque et la pression artérielle moyenne augmente considérablement lors de l’effort qu’au repos.

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