Affaire Dreyfus

Hugo                                                                                                        P3

Bécat

Devoir Maison

Histoire-Géographie :

Affaire Dreyfus

1)Intro :        En 1894, Alfred Dreyfus, un officier juif de l'armée française, a été accusé d'avoir fourni aux ennemis allemands des informations sur les secrets militaires français à travers la frontière. Dans un procès fabriqué de toutes pièces, Dreyfus a été condamné à mort par un tribunal militaire pour trahison. Il a été déchu de son grade militaire et envoyé dans une prison en Guyane. L'opinion publique le considère coupable. En 1895, le lieutenant-colonel George Piquart démasqua le vrai coupable, le commandant Esterhazy. Bien qu'il y ait eu des preuves accablantes de sa culpabilité, il a été acquitté en raison de la manipulation par le personnel. Après une campagne d'information à grande échelle, la France a été divisée en deux tribus. Autour du frère d'Alfred Dreyfus Matthieu, la famille Dreyfus a défendu les officiers. Les plus célèbres sont George Clemenceau, Anatole France, Emile Zola et plus tard Jean Jaurès. L'anti-Dreyfusad pense qu'il est d'origine juive et alsacienne et qu'il est le coupable idéal. Après l'acquittement du commandant Esterhazy en 1898, Emile Zola a publié une lettre ouverte intitulée "Jaccuse ..." dans "Aurora". En raison des accusations portées contre le personnel, Zola a été reconnu coupable de diffamation. En 1899, en raison de nouvelles preuves, le procès de 1894 a été annulé. Dreyfus est renvoyé au Comité de guerre de Rennes, où il est de nouveau condamné. Pour apaiser la tension, le président de la République, Émile Loubet, lui a gracié pour des raisons de santé. Dreyfus n'a pas été réformé, il a fait de son mieux pour prouver son innocence. En 1904, il reçut un amendement à son procès. Alfred Dreyfus a finalement été déclaré non coupable après 12 ans de condamnation et de violents combats. En 1906, il rejoint l'armée et reçoit la Légion d'honneur en tant que commandant. 

2)                La décision judiciaire de Dreyfus s'est transformée en crise de pouvoir, divisant la France deux opinions. Communément surnommée « l’affaire Dreyfus », les Dreyfusards et les Antidreyfusards vont s’opposer.  Les antidreyfusard sont de droites, nationalistes, conservateurs et antisémites, ils ont manifesté leur intérêt le fort de la patrie, la gloire de l'armée. Ceux ci sont contre la remise en liberté d’Alfred Dreyfus ainsi que contre sa reprise de fonction.

3)                Les Dreyfusard qui sont eux gauchistes, anticléricaux et antimilitaristes, ils défendent les droits de l'homme et la liberté l'individu a également demandé une révision de l'essai. « C’est parce qu’il était Juif qu’on l’a arrêté, c’est parce qu’il était Juif qu’on l’a jugé, c’est parce qu’il était Juif qu’on l’a condamné. » Bernard Lazare, le premier des dreyfusards, résume ainsi le sort du capitaine Dreyfus. D’autres intellectuels reconnus défendent également sa cause : Georges Clemenceau, Jean Jaurès, les écrivains comme Marcel Proust, André Gide et principalement Emile Zola.  Les Dreyfusard veulent libérés Alfred Dreyfus qui a été victime d’une erreur judiciaire voir même d’un complot judiciaire sur fond d'espionnage, dans un contexte social particulièrement propice à l'antisémitisme et à la haine de l'Allemagne après son annexion de l'Alsace-Lorraine .

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