Unité Italienne
Commentaire de texte : Unité Italienne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Kessy.alxs • 29 Avril 2020 • Commentaire de texte • 494 Mots (2 Pages) • 820 Vues
Exercice sur l'unité italienne
Brouillon : Idées principales et beaucoup d'abréviations
Intro :
Congrès de Vienne + mouvement italien, pas un Etat(allemagne et Italie), ouverture conception
a. Façon de penser de Mazzini, favorise violence + lois (parle de Dieu) + égalité cityoens
b. Cavour, dacc avec pô de V.Emmanuel II (avec soutient compositeur Verdi), soutien des italiens
c. Contradictoire pcq riches(bourgeois+intello) = droite, les bourgeois ne peuvent pas soutenir Mazzini parce qu'ils veulent garder leur « pouvoirs »
Conclu :
Cavour l'emporte,bcp de guerre + fin alliance avec france, gagne guerre, recup Rome (nvl capitale)
Développement :
Tout d'abord, dans la première moitié du XIXe siècle, l'Europe est dominée par les rois et les Empereurs qui restaurent l'ordre monarchique dès 1815 lors du congrès de Vienne (ce congrès à pour but d'instaurer la paix au sein des pays). L'Italie et l'Allemagne n'existent pas en tant qu'Etat au milieu du XIXe siècle. Ces deux espaces sont très divisés, qui sont dirigés par les grandes puissances européennes tel que la Prusse et l'Autriche. Un mouvement va naître ayant pour but l'unité Italienne qu'on appelle « Risorgimento ».Des guerres auront alors lieu pour l'indépendance italienne. Par la suite, deux conceptions très contradictoires de l'unité italienne se font ressentir.
Premièrement, le mouvement du Risorgimento est affaibli au début du milieu du XIXe siècle. Les Italiens n'ont pas tous la même vision de leur futur nation. D'ailleurs Mazzini souhaitent créer une république démocratique et sociale par le moyen de la révolution, dans ce cas ils favorisent ici la violence. Pour celui-ci l'unité Italienne devrait également reposer sur des lois et les citoyens devrait être libres et égaux , il souhaite une Italie unifiés, qui regroupe le peuple Italien pour se battre ensemble.
Toutefois, Cavour, le premier ministre du royaume de Piémont-Sardaigne et contre l'idée d'une révolution car celle-ci aura peu d'influence et n'est pas nécessaire, car les intellectuels et les bourgeois (classe supérieur/classe moyenne) veulent que l'ordre social ne soit pas modifiés. Dans le royaume de Piémont-Sardaigne une constitution libéral avait été mise en place. Pour Cavour, le roi Victor-Emmanuel II est un exemple et c'est sa politique qu'il faut suivre, que ce soit pour l'éducation, la manière de penser qu'il inculpe au enfants dès leur plus jeune age où même la puissance technologiques développer dans le royaume du Piémont-Sardaigne est ce qu'il faut pour l'unification de l'Italie.
Finalement, c'est bien la politique de Victor-Emmanuel II qui aura prévalu. Après plusieurs guerre ayant pour but l'unification italienne, le Nord et le Sud de l'Italie ce sont réunis mettant fin a l'entente qu'il y avait entre la France et l'Italie. L'Italie ressortira triomphante de son opposition aux Français. Enfin, en 1817, elle sera officiellement unifiée et Victor-Emmanuel II fera de Rome la capitale de l'Italie.
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