Résumé "Les femmes savantes"

Les femmes savantes

Acte I Scène 1 :

(Armande et Henriette)

Henriette avoue à sa sœur qu’elle aimerait épouser Clitandre. Armande la met en garde car Clitandre était amoureux d’elle il n’y a pas longtemps. Elle préférerait que Henriette étudie la philosophie.

Acte I Scène 2 :

(Clitandre, Armande et Henriette)

Henriette demande à Clitandre de dire quelle sœur il aime. Il dit l’aimer car Armande est trop froide pour lui. Henriette lui déclare en retour sa flamme et l’incite à la demander en mariage.

Acte I Scène 3 :

(Clitandre et Henriette)

Clitandre dit à Henriette qu’il va demander sa main à son père. Elle lui dit qu’elle préfère qu’il demande à sa mère car c’est elle qui dirige. Il avoue ensuite qu’il préfère que ça soit elle qui demande. Il se sent mal à l’aise avec la mère de Henriette à cause de ses études qu’il trouve futiles.

Acte I Scène 4 :

(Clitandre et Bélise)

Clitandre va voir la tante de Henriette pour lui demander sa main. Il y a un quiproquo puique la tante pense que Clitandre lui confesse ses sentiments. Elle ne l’écoute pas et pense qu’il est épris d’elle.

Acte II Scène 1 :

(Ariste)

L’oncle de Henriette dans ce monologue soutient Clitandre.

Acte II Scène 2 :

(Chrysale et Ariste)

Ariste était prêt de révéler la liaison de Henriette et Clitandre à son frère. Mais celui ci le coupa pour parler de sa jeunesse à Rome avec le père de Clitandre.

Acte II Scène 3 :

(Bélise, Chrysale et Ariste)

Ariste dit à Chrysale que Clisandre est épris de sa fille Henriette. Bélise intervient pour dire que Clitandre n’est pas amoureux d’Henriette mais d’elle. Chrysale et Ariste disent que ce n’est pas la 1e fois qu’elle s’invente des histoires d’amour.

Acte II Scène 4 :

(Chrysale et Ariste)

Ariste redemande à son frère si Clitandre peut prendre la main de sa fille. Il accepte avec joie car il l’aime bien et il connaît son père. Il va parler à sa femme de son approbation quant au mariage.

Acte II Scène 5 :

(Martine et Chrysale)

Chrysale apprend que sa femme à renvoyé la la servante de cuisine. Il lui demande de rester car il est content de ses services. Il avoue que sa femme « à la tête un peu chaude ».

Acte II Scène 6 :

(Philaminte, Bélise, Chrysale et Martine)

Chrysale demande des explication à Philaminte quant au renvoie de Martine. Elle lui dit qu’elle la renvoie car sa grammaire reste à désirer. Chrysale va donc céder au caprice de sa femme et faire partir Martine.

Acte II Scène 7 :

(Philaminte, Bélise et Chrysale)

Chrysale reproche à Philaminte d’avoir renvoyé Martine car elle était une très bonne servante de cuisine. Il se fichait de son éloquence. Il lui dit qu’il pense que les discours de Tissotin n’ont rien d’extraordinaires. Bélise quite la scène ayant honte de son frère.

Acte II Scène 8 :

(Philaminte et Chrysale)

Philaminte annonce à Chrysale qu’elle veut marier Henriette à Trissotin.

Acte II Scène 9 :

(Ariste et Chrysale)

Ariste demande à Chrysale comment ça s’est passé avec Philaminte. Il lui dit qu’elle voudrait Tissotin comme gendre. Ariste lui avoue alors qu’il est trop faible et qu’il n’arrive même pas à affronter sa femme en dévoilant ses opinions. Chrysale prend donc la décision de ne plus se laisser dominer par sa femme.

Acte III Scène 1 :

(Philaminte, Armande, Bélise, Trissotin et Lépine)

Trissotin charme Philaminte, Bélise et Tissotin.

Acte III Scène 2 :

(Henriette, Philaminte, Armande, Bélise Trissotin et Lépine)

Henriette est contrainte par sa mère d’assister aux lectures de Trissotin. Les femmes vont commencer à exposer leurs idées quant à leur futur académie de femmes savantes.

Acte III Scène 3 :

(Lépine, Trissotin, Philaminte, Bélise, Armande, Henriette et Vadius)

Vadius qui est aussi un savant arrive. Lui et Trissotin commencent à complimenter leurs œuvres. Vadius dit qu’il n’aime pas « La fièvre qui tient la princesses Uranie ». Trissotin n’est pas content car c’est en fait une de ses oeuvres. Tous 2 commencent à se disputer dans une sorte de battle de vers. Vadius fini par donner un défi à Trissotin. Ca se passera cher Barbin « en vers, prose, grec et latin ».

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