Qu’il soit personnel ou collectif le passé entrave-t-il individu ?
Dissertation : Qu’il soit personnel ou collectif le passé entrave-t-il individu ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lorraine Ricklin • 9 Avril 2018 • Dissertation • 1 024 Mots (5 Pages) • 2 765 Vues
Qu’il soit personnel ou collectif le passé entrave-t-il individu ?
Je pense que le passé aide l’individu à avancer.
Notre passé est pour nous une carte d’identité. Personnel ou collectif ,les souvenirs sont uniques, chacun les emboîtent comme il le souhaite créant son mécanisme . Le passé est une partie inhérente de l’individu, il lui permet de se construire et de se développer. Par ailleurs, il n’y a pas sur terre deux individus mentalement identiques même en ayant vécu des événements similaires. Le passé est donc propre à chacun .
ma mémoire retrace mon passé qui est mon identité. Cette identité , cette histoire sera exclusif. En effet, deux personnes ayant vécu le même drame (crash d’avion, fusillade), au même moment, ne ressentirons pas ce passé de la même façon. Elles l’auront ajuster inconsciemment de sorte à ne pas l’avoir en hantise pour le reste de leur vie et le vivrons donc différemment au niveau psychologique.
Cependant, sans passé ni mémoire, il n’y a pas d’individu. Peut-être, suis-je alors ce que mon passé a fait de moi ? Que serions-nous sans cette avant, sans ces événements qui nous ont construit, sans le souvenir de notre famille, sans avoir conscience des émotions. Nous serions des voyageurs sans bagages, des fantômes sans âme, une nuit sans étoiles. Nous serions d’un vide profond. Sans mémoire, nous ne serions pas comment nous comporter en société ni savoir ce qui nous entoure et qui nous sommes . c’est le passé qui nous harmonise, il nous donne une histoire,. c’est pour cela qu’un amnésique n’a pas d’identité, il n’y a plus de trace de son histoires et sans bagage c’est un recommencement pour lui. Il devra à nouveau tout apprendre. L’histoire subis par un individu le construit de petits blocs qui font qu’il sait qui il est ,en quoi il croit et ce qu’il a fait. il a conscience de son existence.
C’est ma conscience qui me fait comprendre que je suis bien là et que je suis bien moi. Elle sait en effet qu’il y a eu un avant me permettant d’être qui je suis . Mon histoire et mes événements me construisent en permanence . Mon passé est alors la clé de mon mécanisme. Mais alors est-ce que notre passé nous emprisonne ? Si nous le subissons, définit t’il ce que nous sommes ?
L’individu est en constante évolution. Par conséquent, il ne peut se définir totalement .
Ce n’est pas parce que nous subissons les événements de notre passé qu’il nous emprisonne pour autant. Nous ne sommes pas esclave de notre passé. Ce n’est pas lui qui choisira notre destin mais nous. Ce n’est pas parce que j’ai fait un faux pas que je devrais l’avoir sur la conscience pour le reste de mon existence. Si nous restions tourmenté éternellement par nos bavures et nos insolvabilités, nous demeurerions statique. C’est donc plutôt grâce à ces erreurs et à ce vécu que je ne recommencerai pas la même chose demain, je m’améliorais, j’avancerais et j’aurai le pouvoir d’apprendre.
En outre ,c’est de nos échecs que nous tirons les plus grandes leçons. Par exemple, Un enfant entre un et quatre ans tombera des milliers de fois au cours de son apprentissage. Pourtant, regardez-vous,
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