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Victor Hugo publie son recueil poétique les Contemplation en 1856 fruit de 25 années de sa vie fait d’espoir de rêves amoureux, de luttes de deuils familiaux et d’idéaux

Il interroge en autre le rapport du monde à la différence et à la marginalité .

Ainsi dans son. Poème j’aime l’araignée 27 eme du 3 eme livre du recueil lié aux combats qui s’intitule les luttes et les rêves ,VH exprime son amour pour les créatures exclues parce que considérés comme laides nocturnes nuisibles ouvrant donc à la fin du poème un plaidoyer pour un amour universel adresse a toutes ces créatures . Ce poème alternant décasyllabe et pentasyllabe est composé d’une très longue phrase du vers 1 au vers 19 dans lequel VH explique les raison pour lesquelles il aime l’araignée et l’ortie, contre l’avis de la majorité et contre leur malédiction. Nous avons le portrait pathétique de leur souffrance . S’en suive 3 strophe conclusives addrésé au lecteur et l’invitant à plus d’amour pour ce qui est différent de lui . Apres avoir lu cet extrait nous pouvons nous demander comment Victor Hugo par une certaine pathétique fait de ce poème un plaidoyer pour la charité chrétienne adressé à tous. Pour cela il serait intéressant d’analyser plusieurs mouvements du texte, une description pathétique des deux créatures et un plaidoyer pour l’amour universel.

Le poème est structuré de manière extrêmement argumentaire du vers 1 au vers 19. VH propose les raison d’une manière des anaphorique commencent chaque début de strophe par un « parce que » pour expliciter son amour pour l’araignée et l’ortie . Et après le vers1 au 19 le poème prends alors une autre direction ;

V.1 VH nous montre par un lyrisme extrêmement appuyé un son amour pour deux créatures a priori peu poétique . L’araignée et l’ortie sont a la fois des êtres nuisibles que tout à chacun n’aime pas et cet araignée et cet ortie de par le « l’ » sont plutôt prises comme des généralités. Donc cet amour qui est ici répété « j’aime » et « j’aime » : forme d’insistance de VH insistance qui se pose sur un présent de vérité général

V.2 opposition car beaucoup plus court . « Pcq on les hait » : le je s’oppose au on , le on est l’opinion collective , tjrs dans un présent de vérité générale . L’amour de vers 1 s’oppose à « hait « vers 2 de manière extrêmement claire, forte , assez manicéaine , une forte antithèse et donc la brièveté du vers 2 sonne d’une manière assez lapidaire comme une condamnation de VH : j’aime parce qu’on les hais. Cet amour est proportionnel à la détestation universelle pour ces deux créatures .

V.3 - 4 poursuit l’explication des raisons de, l’amour de de VH : rien exaucé et tout chatie leur morne souhait : antithèse : rien/tout exhausser / chantier souhait:

Strophe 2

Reprends le vers 2 avec une structure anaphorique ( répétions)

V.5 alitération en i comme des cris + F

V.6 noir = diabolique ramper = serpent qui est au sol et qui ne peut pas s’élever

V.7-8 assonances en i insistance sur le cris

Triste captive : registre de plus en plus pathétique , fait appel à la pitié

Captives de leur guet appels : coté de l’araignée , la toile est un guet apens pour le insectes comme si elle se pigeait elle meme , condamné a une détestation universelle comme l’ortie.

Strophe 3 :

V.9 prise renvoie à captives , notion de champs lexical du piège qui se referme et dans leur oeuvre : dans leur action: araignée prise dans l’action de tuer par sa toile et l’ortie de blesser de manière assez sournoise .

V.10 registre tragique exprimé de manière bcp plus explicite ( avant on avait : tristes et captives ). Destinée très marquée ici par le terme de sort et noeud qui a un rapport avec la mythologie greco romaine , le fil de la vie le rapport au moi ces

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