Mettre en avant la part d’imagination et de réflexion que l’auteur met en scène
Commentaire de texte : Mettre en avant la part d’imagination et de réflexion que l’auteur met en scène. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SIMON. • 6 Novembre 2021 • Commentaire de texte • 791 Mots (4 Pages) • 361 Vues
Commentaire composé
L’imagination est souvent considérée comme quelque-chose d’enfantin, mais parfois, cette imagination est source de réflexion profonde de la part de l’auteur. Mettre en avant la part d’imagination et de réflexion que l’auteur met en scène. Nous allons y répondre en deux parties, la part d’imagination et la part de réflexion.
Jean de la fontaine utilise l’anthropomorphisme pour traduire une société animale à l’image de la société humaine pour d’une part éviter la censure et puis instruire et plaire avec une morale associée a un monde fantaisiste. Le lion est associer au roi.Les négations insistes sur la perte de la nature des animaux, ce qui est contre nature avec les tourterelles qui est le symbole de l’amour. Au vers 8, le lien « amour-joie » est une personnification. Au vers 15, le lion est associer au roi, c’est une personnification de l’ordre social, il parle en premier ce qui est signe de pouvoir et d’ordre.Il utilise des précautions oratoires en utilisant « je crois » et il utilise des formules de politesse « mes chers amis ».
Les renard sont considéré comme furtif et très habile dans la nature.Jean de la fontaine le désigne comme avocat du diable avec la volonté de déculpabilisé, de minimiser. Il utilise de l’ironie « beaucoup d’honneur ». Il souligne de l’absurdité du propos en utilisant une question rhétorique avec une réponse répétée « non,non ». Il y a le berger qui est le symbole des humains et du conflit avec les animaux. La métaphore « chimérique empire » est liée à la supposée domination des hommes sur les animaux.
L’âne est une animal brute, sans finesse. Jean de la fontaine le fait apparaître du vers 48 à 61,il utilise directement un trait d’humour « poussé par le diable » ,qui va se retourner contre lui dans une confession. Considérer comme un crime grotesque, ridicule. Pronom de la généralité « on » qui désigne une accusation générale. Avec un vocabulaire de plus en plus accusateur « l’ane, le baudet, l’animal maudit ». L’auteur à donc pu imaginer un monde où les annimaux prennent la place des humains.
Maintenant, nous allons voir la part de réflexion que l’auteur met en scène.
Jean de la Fontaine à imaginer des classes sociales à travers l’anthropomorphisme et évidement le roi est représenter par le lion car le lion est considérer comme le roi des animaux. Le vers 8 représente la fatalité, répétition du pronom « tous », chiasme qui insiste la fatalité globale. Il y a aussi le parallélisme de construction « ni/ni » qui insiste sur l’absence de négation , avec « nul ». Le pronom de la généralité inclusif « on » désigne que l’auteur est témoin.Dans la politique, « nous » est la décision du peuple, l’argument de l’histoire est la volonté de convaincre et de persuader. Il y a le champ lexical de la religion, de la religiosité, de la superstition:pouvoir absolu « Ciel, péchés céleste courroux, sacrifie, sans indulgence, dévouement. Il y a la défense, impératif négatif « ne nous flattons point » cela ce traduit par éviter de se vanter , autorité avec « voyons sans indulgence » avec l’effet de persuasion du pronom « nous », lui compris. Il manient bien le langage ce qui montre du pouvoir et de la supériorité.Il fait une confession.Il utilise une question rhétorique avec une absence de réflexion, un coté désinvolte et peu intéresse. Il parle à la première personne. Il fait une confession pas sincère qui était rendue obligatoire avec une absence de remords « nulle offense ».Il utilise le superlatif « le plus » ce qui montre qu’il ne s’estime pas coupable.La Fontaine dénonce donc le pouvoir absolu et le mépris de classe.
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