Memoire BMCI
Étude de cas : Memoire BMCI. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar manaoui naima • 26 Septembre 2015 • Étude de cas • 21 150 Mots (85 Pages) • 778 Vues
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Encadré par : Préparé par :
M Khalid Thaythay Fuizane Naima
Fettah Nora
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Introduction Générale …………………………………………………. ……5
Partie I : l’environnement déclencheur de la crise mondiale 2007.
Chapitre1 : Origines de la crise………………………………………………..7
Section 1 : Début de crise aux états unis ……………………………………………..............9.
Section 2 : Propagation de la crise en Europe……………………………………………… .18
Chapitre 2 :l’impact de la crise mondiale sur les pays de l’Union Européenne (Exemple : la Grèce) ……………………………………………33
Section 1 : impact de la crise sur l’environnement économique………………… .....…39
Section 2 : impact de la crise sur l’environnement social………………………… ……42
Partie II : les solutions et les alternatives permettant d’affronter la crise
Chapitre1 : les mesures adoptées par le modèle britannique………………………………………………………………..…..44
Chapitre 2 : les stratégies adoptées face à la crise des Etats et des banques. …………………………………………………………… ………48
Section 1 : Les stratégies marketing face à la crise financier mondiale …………… …….49
Section 2 : Les économies et les entreprises peuvent réagir ……………………………… …. 51
Partie III : Application pratique dans les banques marocaines (exemple : banque populaire)
Chapitre1 : la banque populaire les stratégies à suivre et mesures à prendre……………………………………………………………………… ..55
Chapitre2 : Résultats et autres éléments des trois dernières exercices : 2010_2011_2012………………………………………………………………………..…….65
Conclusion générale
Bibliographie
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Il y a des choses que nous ne souhaitons pas voir se produire mais nous devons les accepter. Des faits, qu'on préférait ne pas connaître mais dont nous devons tenir compte et des gens dont on ne peut pas se passer, qu'on doit accepter de quitter.
Une personne qui te laisse tomber, va perdre quelqu'un qui ne l'aurais jamais laissé tomber.
Avec le temps, va, tout s'en va on oublie le visage et l'on oublie la voix le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien.
Nous ne sommes pas tristes, nous sommes juste fatigués de l'endroit où on se trouve
Rien ne s'obtient par un claquement de doigt. Si tu as un objectif, travaille afin de le réussir, poursuis tes ambitions et tu ne seras pas déçu.
#Youness Saih
Les gens ne te diront pas toujours ce qu’ils ressentent réellement pour toi, mais leurs actions parleront toujours plus fort que leurs parole.
Si un garçon te siffle dans la rue, ne te retourne pas, tu es une fille, pas une chienne.
Le monde ne te fera pas de cadeau, crois-moi. Si tu veux avoir une vie, vole-la.
❧ La question du e entre la crise économique mondiale de 1929 et celle d’aujourd’hui est souvent posée. L’évidence statistique tout comme la recherche sur les causes plaide en sens contraire.
Quand on évoque la crise de 1929, la plupart pensent au krach boursier de Wall Street en octobre 1929. L’éclatement de la bulle spéculative des actions n’a toutefois été que le révélateur de la dépression mondiale. Ses causes sont à rechercher dans de nombreuses dérives de l’économie mondiale qui, pour une part, ont à voir avec la Première Guerre mondiale. Seuls les États-Unis connaissaient la prospérité en 1929 ; en Europe, les années 1920 étaient beaucoup moins celles d’un « âge d’or ».
Le déclenchement de la crise économique mondiale a aussi mis en lumière les problèmes cachés des banques européennes. Elle a culminé dans une crise financière aiguë, qui a débuté avec la faillite de la Österreichische Creditanstalt en mai 1931 pour gagner rapidement l’Allemagne et la Grande-Bretagne et aggraver la crise industrielle.
Contrairement à 2008 toutefois, les problèmes des banques n’étaient pas la cause mais la conséquence des problèmes de l’industrie. Et la puissance du capital financier reposait sur les liens étroits avec l’industrie, et non pas comme aujourd’hui sur une séparation voulue.
Ce qui est arrivé en 2008 a été le résultat, selon le Premier ministre britannique Gordon Brown, d’une politique menée depuis trois décennies et qu’on peut décrire comme la domination du néolibéralisme dans l’économie. Cette ère de confiance aveugle dans le marché n’est pas terminée, loin s’en faut. Le combat pour l’hégémonie dans le débat sur les politiques économiques vient au contraire seulement de commencer. Ce sont seulement les thèmes qui ont changé. On ne parle plus de la défaillance des marchés financiers et des pratiques téméraires des banques et de leurs dirigeants mais – voir la Grèce, l’Irlande, le Portugal, l’Espagne, l’Italie et peut-être bientôt la France – des erreurs des dirigeants et des dettes publiques. Les excès du capitalisme de casino, qui a inventé des titres et les a fait circuler dans la sphère financière alors que personne n’en comprenait les risques, ne doivent pas être oubliés. Ils sont la vraie cause du problème des dettes souveraines.
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