Madame Bovary, Gustave Flaubert
Étude de cas : Madame Bovary, Gustave Flaubert. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Cidalex4 Campeador4 • 30 Décembre 2020 • Étude de cas • 761 Mots (4 Pages) • 630 Vues
Marceline ROMMEL 1°6 03/12/2020
Commentaire littéraire Madame Bovary
Flaubert écrit madame Bovary pendant la deuxième moitié du 19èmes siècles, durant le mouvement du réalisme littéraire.
Ce roman relie deux tendance éloigné, le romantisme et le réalisme.
Flaubert relate ici la vie d’Emma, femme d’un simple officier de santé à Tostes,
elle s’ennuie fortement avec son mari qui à une vie banale et préfère lire des lectures romantiques, dans le passage étudier Emma trompe Charles avec Rodolphe.
Nous nous poserons donc la question de savoir, il y a t’il des exagérations dans ce passage et quels sont-ils et le point de vue sarcastique du narrateur ?
Le narrateur détient un large point de vue sur le comportement du personnage principal dans le texte étudié est il bel et bien omniscient et on le voit bien par ces paroles et notamment par son ironie envers la vision de l’amour que à Emma, malgré tout on pourrait croire qu’il cherche a détourner la tristesse et la solitude qu’elle ressent dans son mariage.
Néanmoins on peut noter que on peut tout à fait voir, savoir les émotions et sentiments de Emma à travers un point de vue interne que le narrateur met en valeur : «ce fut comme un étourdissement », prouve qu’il veut faire parvenir mettre en lumière les sentiments d’Emma aux lecteurs pour nous imprégner de l’histoire et provoqué de la compassion envers elle qui est décrite comme une femme lassé de l’amour qui découvre enfin une nouvelle vie, une nouvelle passion.
Emma, ennuyé par sa vie routinière avec son mari décide de lire de nombreux livres romantique et ses lectures ne lui seront pas bénéfiques car elle va confondre fiction et réalité. Elle relate ses lectures pendant sa relation : « elle se rappela les héroïnes de livres qu’elle avait lus ».
Le narrateur s’en garde point d’en parler cependant avec une certaine ironie.
Elle n’est jamais satisfaite de sa relation avec son mari, on appellera cela le bovarysme.
On peut dire que le narrateur est tout à fait réaliste et omniscient car il sait très bien que le point de vue d’Emma sur l’amour est biaisé par ses lectures et que sa chute ne sera que plus difficile quand la réalité la rattrapera.
C’est très sarcastique comme parole et cela amène sur le point de vue du narrateur que on pourrait qualifier de omniscient car il sait que elle idéalise trop l’amour, il ironise dessus.
Il faut cependant distinguer le narrateur et le point de vue, très subtil il utilise l’ironie du narrateur omniscient avec une partie de point de vue interne sur Emma.
Emma utilise de nombreuse formules et poésie pour décrire l’amour
« passion, extase, délire ».
Nous pouvons comprendre que sa relation avec Charles ne lui permet pas de ressentir un profond amour, seulement une relation fade et sans intérêt, et qu’elle attend avec impatience la découverte du vrai amour, au point qu’elle décide de trouver quelqu’un d’autre, Rodolphe avec qui elle vas avoir une aventure. Cette nouvelle relation vas lui faire découvrir l’adrénaline et la passion ce qui vas la troublée et lui donner une perception de l’amour beaucoup plus intense.
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