Les lettres, La Princessse de Clèves

Les Lettres

Il est question dans La Princesse de Clèves de deux lettres différentes :

• La première concerne M. de Sancerre, Mme de Tournon ainsi que M. d’Estouville

Alors que Mme de Clèves s’était retirée de Paris dans sa maison de Coulommiers elle apprit une terrible nouvelle : la mort de Mme de Tournon, une jeune fille qu’elle trouvait belle et vertueuse. M. de Clèves lui apprit aussi que son ami M. de Sancerre était fou amoureux de celle-ci et qu’elle lui avait promis depuis deux ans déjà de l’épouser. Malheureusement il lui apprit aussi que la défunte était aussi amoureuse de M. d’Estouville et que le jour de sa mort M. de Sancerre découvrit la perfidie dans une lettre. Il y trouva les passions les plus secrètes qui était adressée à son amant. Mme de Tournon avait aussi promis à M. d’Estouville de l’épouser et cette lettre ne faisait que le confirmer puisque elle lui expliquait son amour et ses plus profondes passions à son égard.

C’est donc une lettre d’amour, de passion mais aussi indirectement de tromperie à l’égard de M. de Sancerre à qui ce n’était point destinée. Cette lettre révèle le fait que Mme de Tournon n’était une femme fidèle en qui M. de Sancerre avait pût avoir confiance. Il était déshonoré et trompé.

• La seconde lettre se situe au centre de l’attention de Mme de Clèves, M. de Nemours et le Vidame de Chartres

C’est au cours d’un tournoi alors que M. de Nemours est blessé que la lettre et découverte par Mme de Clèves. Cette lettre avait été égarée par une femme. La trouvant Mme de Clèves crût que le destinataire était son amant. Outré, choqué elle la fit passée entre les mains de toute la cours. Finalement le Vidame de Chartres  se dévoilât auprès de son confident M. de Nemours afin de lui annoncer que c’était sa lettre mais qu’il était trop périlleux pour lui-même de la récupérer et en référais donc à M. de Nemours. Ce dernier alla se justifier auprès de sa bien aimé pour lui dire qu’il n’avait en effet aucune maitresse et qu’elle n’avait donc pas à s’en faire. Un billet marqué de la signature du Vidame en était la preuve. M. de Nemours se reconnu comme destinataire à la place de son ami mais sans recevoir les injures de la Princesse de Clèves.

C’est une lettre d’amour mais aussi de plainte et de douleur dans laquelle son auteur exprimait sa tristesse sur le fait que parait-il le destinataire aimait une autre femme. Le destinataire n’étant pas mentionner La PDC crût que se fût M. de Nemours le concerné. Cette lettre explique que celui qui y est visé (Le Vidame de Chartres) a plusieurs maitresses dont l’auteur et que ce cette dernière le vie douloureusement et est blessée.

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