Les justes, Camus

Rochefort Louise                                                                               1ère ES\L

Lecture Cursive.

        Les Justes de Camus est une pièce de théâtre écrite en 5 actes, qui relate des faits historiques survenu dans une Russie opprimé par le grand duc Serge. En 1905, un groupe de jeunes gens appelés, les Conjurés de l’Organisation Social Révolutionnaire, se réunissent afin d’assassiné ce tyran. Le premier acte s’ouvre sur Dora et Annenkov qui attendent Stephan ,un autre révolutionnaire qui s’est échappé du bagne où il a été envoyé trois ans plus tôt. Pour cet attentat s’est Kaliayev, dit le poète, qui lancera la première bombe, Voinov la deuxième si nécessaire. Stephan quant à lui, devra donner un signal à ses autres camarades. Il voudrait, à la place de cette tâche, lancé la bombe sur le grand duc se dirigeant vers le théâtre. Le lendemain de cette réunion, les socialistes révolutionnaires sont prêt pour l’opération. A la suite du signal de Stephan, aucune bombe n’a explosé. De retour à l’appartement, Kaliayev revient en pleurs n’ayant pu jeter la bombe car, le neveu et la nièce du grand-duc se trouvaient dans la calèche. Kaliayev, déchiré par ses émotions, n’a pas eu le courage de sacrifier ces deux innocents. Ces camarades le soutiennent et Annenkov, le chef du groupe, décide de repousser l’attentat. Pourtant, Stephan lui, l’accuse de lâcheté et de ne pas être un vrai révolutionnaire. Deux jours plus tard, Voinov n’ayant pas trouvé à nouveau la force de mener à bien l’exécution, décide de quitter le groupe. Mais, ne voulant pas renoncer à ses convictions de socialiste révolutionnaire, il choisit de militer dans les comités de propagande du parti. Annenkov prendra donc sa place pour l’attentat. Doria quitte son amant Kaliayev en pleurs, il est temps pour lui de tacher sa mission. Le son de la calèche retentit dans la rue puis l’explosion d’une bombe. La deuxième bombe n’a pas été lancée, le grand-duc Serge est donc mort. Kaliayev est ensuite arrêté, il se retrouve en prison et rencontre son bourreau Foka qui ne comprend pas les convictions du terroriste. Arrive ensuite Skouratov, directeur du département de police, qui lui propose de le gracié en échange de la dénonciation de ses camarades. Kaliayev refuse. Il le laisse avec la grande duchesse totalement effondré par la mort de son mari. Elle essaye de convaincre le rebelle d’assumer son statut de meurtrier. Elle veut le ramener à Dieu et demander sa grâce pour qu’il vive. Kaliayev s’emporte, il ne veut pas être considéré comme un meurtrier, il préfère mourir pour sa cause et pour ses frères. Ne voulant pas se repentir, Skouratov le menace de publié dans le journal, ses excuses et la dénonciation de ses camarades. Kaliayev affirme que ses frères ne croiront pas à cette nouvelle. Dans un autre appartement, une semaine plus tard, les révolutionnaires sont à nouveau réunis. Voinov les a rejoints. C’est la nuit de l’exécution de Kaliayev. Dora lui souhaite une mort rapide. Stephan et Voinov, les deux révolutionnaires, partent à la rencontre d’Orlov qui a assisté à la scène de pendaison. Dora souhaite savoir les moindres détails. Elle est totalement désespérée quand Stephan lui rapporte le terrible bruit au moment de la pendaison. Après avoir repris ses esprits, elle demande à Annekov de lancer la prochaine bombe. Elle veut être pendue par la même corde que son amant.

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