Les figures de styles
Fiche : Les figures de styles. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kmy.7 • 4 Avril 2022 • Fiche • 459 Mots (2 Pages) • 320 Vues
Figures d’analogie | Figures de substitution | Figures d’opposition | Figures d’insistance | Figures d’amplification | Figures d’atténuation |
La comparaison établie une analogie entre un comparant et un comparé, au moyen d’un mot outil. Elle payait, au vol, d’un baiser vif comme une piqûre. | La métonymie substitue un mot à un autre (la cause pour l’effet, le contenant pour le contenue). La salle à manger était pleine, et les habits noirs inquiets se haussaient à la porte. | L’oxymore allie deux mots de sens opposés appartenant au même groupe syntaxique, ce qui crée une image saisissante. Paris est le plus délicieux les monstres. | La répétition est une simple reprise d’un terme. Des rues. Des rues. Des rues. Des rues. | L’accumulation est une longue énumération de mots destinée à frapper le lecteur. Un ronflement d’ogre repu, digérant les toiles et les draps, les soies et les dentelles, dont on le gavait depuis le matin. | La litote repose sur l’implicite : il s’agit de dire le moins pour faire comprendre le plus. Ce garçon-ci n’est pas un sot, et je ne plains pas la soubrette qui l’aura. |
La métaphore est une comparaison sans outil comparatif. Le tourbillon de l’hélice, le vent furieux, tout cela l’étourdissait d’une vaste et brutale symphonie. | La synecdoque est une variante de la métonymie qui substitue la partie au tout. Mais aussitôt ma main, à moi seule funeste. | L’antithèse oppose deux mots, groupes de mots ou propositions. Elle peut reposer sur la confrontation d’antonyme. Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie. J’ai chaud extrême en endurant froidure. | L’anaphore est une reprise d’un même terme ou d’une même expression en début de phrase, proposition ou vers. Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourir. | La gradation est une succession de plusieurs mots de force croissante ou décroissante. Je le vis, le rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s’éleva dans son âme éperdue. | L’euphémisme est une expression imagée qui permet de ne pas choquer. Il peut aussi avoir un effet comique ou ironique. […]je comptais faire dans le même temps, avec une seule pucelle, ce que Héraclès de Grèce fit avec cinquante. |
La personnification est une métaphore qui donne à un animal ou un inanimé des caractéristiques humaines. L’allégorie personnifie une idée abstraite souvent transformée en personnage par une majuscule. Là règne la Fortune. | La périphrase substitue à un nom un groupe nominal qui le désigne ou le définit. Quoi ! Malgré mes remontrances, Heurter le fondement de toutes les sciences | Le paradoxe est l’affirmation d’une idée contraire à l’opinion commune. Les hommes qui ne plaisaient point furent toujours les seuls dont j’eus l’air d’accepter les hommages. | L’épiphore est une reprise d’un même terme ou d’une expression en fin de phrase, proposition ou vers. […], ce n’est pas ma faute. […], ce n’est pas ma faute. | L’hyperbole est une exagération des termes employés. Le seul bruit de mon nom renverse les murailles. | La prétérition c’est lorsque le locuteur prétend ne pas vouloir dire quelque chose. Nous n’essaierons pas de donner au lecteur une idée de ce nez tétraèdre. |
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