Les figures de style

Figures de style

La comparaison rapproche … (le comparé) avec … (le comparant) à l’aide d’un outil comparatif (…). Elle suggère une nouvelle réalité : … Elle peut être méliorative ou péjorative.

La métaphore rapproche … (le comparé) avec … (le comparant). Elle est implicitement comparée à (…). Elle suggère une nouvelle réalité : (…). Elle peut être méliorative ou péjorative.

La personnification : Le poète personnifie (chose/animal) en lui prêtant la qualité de pouvoir (…). La personnification de (chose/animal) permet implicitement au poète de critiquer (…) ou de rendre sa description plus vivante. La personnification est méliorative ou péjorative.

L’allégorie (pour les idées abstraites) permet de rendre une idée concrète. (…) est représenté sous des traits humains. L’allégorie met en scène de façon imagée (les sentiments du poète). La représentation de (…) sous les traits de (…) apparaît effrayante, inquiétante/plaisante.

L’antithèse souligne des contrastes et met en relief des contradictions. Le poète rapproche (des mots de sens opposés) pour (…).

L’oxymore souligne un contraste, une contradiction. Le poète juxtapose (deux…) de sens opposé. Il met en relief la contradiction de (…) (et j´explique qu´à la fois, la chose fait ça mais aussi ça).

L’anaphore insiste sur le mot répété. (Rechercher raison de l’insistance).

L’hyperbole exagère, amplifie la réalité. Cette exagération met en valeur (…). L’exagération est parodique (comique) ou emphatique (prétentieux).

La gradation suggère l’ampleur, elle intensifie la description de (…). Elle met en relief, par un effet d’annonce, (le dernier mot).

La métonymie concentre l’attention du lecteur sur (…).

La périphrase évoque une chose indirectement. (…) présente ou désigne (…) sous des traits majestueux : méliorative, sous des traits peu enviables : péjorative.

Le chiasme suggère l’enfermement, l’absence d’issue/suggère une forte contradiction.

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