Lecture linéaire nous sommes tous des féministes /Chimamanda Ngozi Adichie

Lecture linéaire n°5

Introduction :

Nous allons Vous présenter une analyse linéaire d’un passage dû livre de Chimamanda Ngozi Adichie “Nous sommes tous des féministes”,elle est née le 15 septembre 1977,c est une écrivaine nigériane, connue également comme militante féministe et femme politique.Dans se livre “Nous sommes tous des féministes” Sorti le 29juillet 2014 nous pouvons retrouver deux  de ses discours sur le feminisme.Dans le passage que nous allons traiter Il montre des argument prouvant  la difference entre homme et femme aux nigeria  

Americanah (2013)

traite des sujets comme : l’immigration, acculturation, exploitation, racisme, négritude, amitiés, amours, au tournant du siècle, au moment de l'élection d'Obama à la présidence américaine.

Problématique :

En quoi les arguments dans ce texte  montrent que nous n’avons pas les mêmes droits selon notre sexe au Nigeria   ?

Plan :

1. Confrontation des points de vue de l’auteur et de louis (l1-l6)
2. description de Lagos qui est  la ville de naissance de l’auteur (l7-l10)
3. La narration d’une anecdote (l11-l25)
4. La femme n’est pas considérée par l’hommme à son égal

Partie 1

• (l1-2) nous pouvons trouver des adverbes comme “souvent”, “évident”, “aussi” qui renforcent l'idée de certitude de l’auteur

• (l2-4) des adjectifs mélioratifs comme : “brillant”, “progressiste” pour démontrer le fait que Louis peut être intelligent mais ignorer les soucis des femmes  il y a aussi un langage direct qui permet de laisser la place à Louis d’exprimer son point de vue et que le texte soit plus vivant. Le verbe “affirmer” donne un ton certain sur ce qu’il entreprend

• (l4-5) “peut-être” qui est une atténuation de l’idée de l’auteur qui renforce les caractères des 2 opposants : autant l’auteur est sur d’elle, autant Louis affirme ses doutes

“mais” qui est une conjonction de coordination suivi de “plus maintenant” qui renforce      l’opposition /différence entre le passé et le présent

On peut y trouver encore deux  adverbes (“tout”, “désormais”) lignes 5  qui montrent sa certitude sur le fait que les femmes vivent mieux de nos jours.

• (l5-6) l’auteur montre son désaccord par “ne pas” qui est une négation et l’adverbe “évident” qui renforce son avis qui est que les femmes ne sont pas égale aux hommes aujourd’hui

Partie 2

• (l7) le pronom personnel “je” compléter par l’expression “chez moi” montre un cadre spatial et affectif du Nigeria par l’auteur

           Le superlatif “plus clair” renforce l’amour de l’auteur pour sa ville.

• (l8-9) ralentit, baisse = verbe de modération qui montre un bien être et une tranquillité agréable

Partie 3

• (l11) “formidable” est pris dans son sens extraordinaire

• (l12) “trainent” berbe péjoratif

• (l12-13) “non sans ostentation” = Litote

• (l13) “aider” ce verbe est mis entre guillemets pour causer un doute qui peut être aussi ironique

“mégapole” = (+ grand) on revient aux qualitées de Lagos, (préfix “méga” accentu la taille)

• (l14) “plus” = comparatif

• (l17) il y a des incises ironique

• (l18) “gesticulations” avis péjoratif

         “surveiller” ce verbe est mis entre guillemets pour causer un doute qui peut etre      aussi ironique

• (l20) "impressionnée" adj soit mélioratif, soit péjoratif, pour désigner l’action des jeunes gens

         “j’ai” = marque de supériorité. L’auteur se sent supérieur au jeune hommes, et ceci  est renforcé par (le verbe mériter)  “méritait”(l21)  (problème de classe supérieur ou classe inférieure). Elle s’adresse avec une certaine condescendance envers le jeune homme.

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