Fiche de lecture : Bête de somme Des animaux au service des hommes Éric BARATAY
Fiche de lecture : Fiche de lecture : Bête de somme Des animaux au service des hommes Éric BARATAY. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar carolinecombe • 1 Octobre 2021 • Fiche de lecture • 2 770 Mots (12 Pages) • 492 Vues
Fiche de lecture : Bête de somme Des animaux au service des hommes Éric BARATAY
Chapitre 1 : un foisonnement d’animaux
- L’enrôlement du prolétaire
- La mobilisation des bestiaux
Depuis l’antiquité : gros bestiaux = travail des sols
XV = on utilisait les bêtes pour les grandes exploitations
XVIII = bcp de main d’œuvre, tout le monde veut des terres après la révolution , pauvreté = on fait tout à la bêche
XIX= recours aux bêtes augmentent car essor économique
Augmentation de 106% entre 1815 et 1882
Baisse des prix des nouvelles machines agricoles = diffusion
Exode rural = moins d’œuvre diminue besoin de plus de bêtes
Course au bêtes accompagne la course aux terres = montrer sa puissance, faire comme les riches et les autres en général
Le travail s’accélère avec l’utilisation des bêtes on peut augmenter la superficie des cultures et donc les récoltes + diversification des travaux.
Les campagnes deviennent importante économiquement parlant car on a besoin de lait (chèvre, vache).
Bœuf = animal de prédilections pour travailler les sols, très populaires, fort ,robuste
Cheval = animal synonyme de richesse et prestigieux socialement parlant, rapide= ils remplacent parfois les bœufs = laissent le bœuf au métayers
Vache = légère, adroite
Mouton = bon fumier = engrains très prisé = moteur de la révolution agricole
- L’essor des transports attelés
Beaucoup de demande = obliger d’utiliser les animaux pour transporter + polyvalence des bêtes
Usage des animaux stimulé par la loi de 1806 qui favorise la multiplication des chemins
Plus de besoins : ca s’intensifie avec l’essor industriel et l’expansion urbaine
Transport animal = moitié du trafic au milieu du XIX
Milieu urbain : les bêtes sont utilisées pour pleins de chose chevaux dans les mines par exemple
Cheval = animal par excellence de la ville car il supporte mieux les rythmes citadins
- Les temps des équipages
Construction du réseau routier = essor du voyage = trafic explose dans les années 1820-1840 = développement du tourisme, amélioration de la traction, diversification des voitures
Chemin de fer prédomine pour les voyages à longue distance = transports tractés se développe pour les routes secondaires et dans les régions reculée et donc non desservies par les chemins de fer
Le maintient des hauts effectifs de chevaux, alors que le train puis l’automobile les concurrencent ou les remplacent montre que l’utilisation locale s’accroît en ville puis à la campagne (page 26)
- L’appel au chien, travailler fidèle
Augmentation du niveau de vie + recul de la rage = augmentation du nombre de chiens on les utilisait pour se protéger mais après c’était plus pour contrôler les troupeaux de bête, on utilise même les chiens à la place d’employé parfois
- Des chevaux au chien : tous au front !
Napoléon restaure la cavalerie pour les guerres = augmente le besoins de chevaux / certains chiens sont utilisés en montagne pour ramener les blessés, dérouler des lignes téléphoniques, certains ont même été décoré pour avoir permit certains correspondance quand le téléphone ne marchait pas ou plus
- Des bêtes sacrifiées
Beaucoup de chevaux sont morts pendant les guerres menées par Napoléon (environ 700 000), aussi dans les mines, dans les villes = l’animal est traité comme un sous-prolétaire sur lequel est construit l’essor économique
Conséquence des usages des bêtes = certains espèces vont muter par exemple les bovins voient leur squelette et leur musculature se renforcer
- La réquisition d’un fournisseur
- Lait et viande se démocratise
Lait = aliment rare qui était réservé en partie à la consommation des familles fermières
XVII = engouement du lait car engouement du café et du thé
Beurre, fromages, pâtisserie = augmente la demande de lait
Consommation de viande explose au début de la révolution française jusqu’au XIX
TOUT CELA INCITE A MULTIPLIER LES TROUPEAUX = l’élevage prend donc une part croissante dans la production et connaît les plus grandes modifications du secteur primaire = essor du bovin / spécialisation dans le production de lait ou de viande
Le nombre de porc commence aussi a augmenté car on peut le nourrir facilement = essentiel de l’alimentation carnée en campagne
Explosion du nombre d’exploitation de petites bêtes = poules, lapins, chèvres
- Encore plus de laine, de fourrure et de cuir
Hausse de la population + révolution industrielle fondée sur le textile = production de plus de laine et donc augmentation des troupeaux et de leur taille + tonte facilitée avec des nouveaux outils
- Des dépouilles à recycler
La consommation croissante de viande provoque l’essor d’une industrie de produits dérivés car le recyclage des déchets est de règle jusque dans les années 30
- Une mobilisation pour divertir
- L’essor des ménageries exotiques
XVI / grandes découvertes = essor de l’exposition des animaux sauvages
XVIII : apparition des ménageries ambulantes = lieu où sont rassemblés des animaux rares pour les présenter au public = apogée entre 1870 et 1914 avec les grandes fêtes foraines
Création des cirques = XVIII / apogée en entre 1870 et 1940
Prestige d’une cité = on a besoin d’un jardin zoologique
Les zoos répondent ainsi à la curiosité des visiteurs, à leur désire d’exotisme, et permettent de se familiariser avec cette gent animale (page 39)
- Du chien au coq : le goût des combats
Combats d’animaux = ils en font pour le plaisir, contempler la douleur et exprimer la brutalité
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