Le personnage de roman doit-il obligatoirement être exceptionnel, ou peut-il être banal ?

Le roman a pour but de divertir les lecteurs, de les plonger dans un monde ou les problèmes n'y sont point et ou il est transporter dans une sorte de voyage agréable le temps de la lecture. pour ce fait, l'auteur invente des personnages différents auquel les lecteurs peuvent s'attacher et méme s'y reférer. depuis le XVII siècle à nos jours, de nombreux personnages ont vu le jour sous la plume de nombreux écrivains, des personnages qui ont fait réver bon nombre d'entre nous à travers leurs accomplissements exeptionnels. la question est : ' le personnage de roman doit-il obligatoirement étre extraordinaire ou alors, peut-il étre banal ? ' on constatera d'abords que le personnage du roman se doit d'étre exeptionnel parce qu'il est l'image méme du héro que se fait le lecteur puis on verra qu'il se doit d'étre aussi banal pour faire plus réaliste.

un personnage 'exeptionnel' possède de nombreuses qualités, moral comme jim hawkins, physique comme Ulysse et celui qui fait réver, le personnage à l'incroyable destin. ces personnages dit 'exeptionnel' font envoler le lecteur et le plonge dans un monde qui n'est guère réel, un monde ou ils découvrent d'autres circonstances de la vie que la leure. c'est un échappatoire de la réalité et un réve éveiller pour les lecteurs.

seulement, le lecteur ne se contente pas de ces personnages, il lui faut aussi un peu de crédibilité, de réalité, de l'ordinaire. les lecteurs ont aussi besoin de banalités, on parle alors d'anti-héros. ces personnages aux nombreux défauts ne sont pas moin appréciés, au contraire, leure médiocrité et le manque de grandeur attirent une bonne partie des lecteurs par leur réalisme. écrit alors de manière objective, de manière naturelle, le fossé entre le lecteur et le personnage est alors détruit . c'est le cas de Jean de la ville de mirmont. un personnage à part entière présentant les caractéristique de l'anti-héro, il passe sa vie à attendre la fin de son travail, la fin de sa vie. il mène alors une vie routinière et a une incroyable capacité à se fondre dans l'anonymat.

le lecteur arrive donc mieux à s'identifier en présence d'un personnage banal qui a des imperféctions. c'est le cas avec Momo dans la vie devant soi/. Mohamed est un jeune garçon intelligent et bien qu'il comprend facilement les choses il a du mal à en saisir la portée. fils d'une prostitué et d'origine arabe, il reste très sensible. il cherchera ensuite à entrer en contact avec sa mère mais comprendra assez vite que ça n'arrivera probablement jamais. ce roman montre le manque d'amour, d'affection et d'attention que peut recevoir un jeune garçon qui grandit et se contruit avec ses propres idées, ses propres valeures.

il y a aussi des anti-héro à la faiblesse morale, ils sont les plus aptes à transmettre les messages de la vie, à nous les enseigner. comme Jeanne dans une vie de Maupassant, cette jeune aristocrate à peine sortie de son cocon est super naive et très influencée par ses lectures romantiques. elle se fait alors des illusions sur son futur époux et se sentira bien vite délaissé après leure nuit de noce. elle apprendra l'infidélité de son mari et en sera détruite, consumé, elle perdra tout espoir et se laissera

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