Le pain chez Francis Ponge

Loup baquet

Commentaire de texte « Le Pain »

Le pain est un objet banal du quotidien. Il est pourtant présenté de façon très valorisante par le poète Francis Ponge. Pour commencer la présence de nombreux Adjectifs mélioratif et hyperbolique-t-elle que « merveilleuse »et « Quasi panoramique » en tout début de poème montre sont intention de mettre en valeur cette objet très simple de conception. « Les Alpes, Le Taurus ou la cordillère des Andes. » Cette énumération montre La comparaison élogieuse du pain à des chaînes de montagne. Cela donne beaucoup d’importance à cet objet, Les montagnes sont un élément qui a leurs manières ont une grande puissance comme le prouve leurs résistances aux intempéries. Des adverbes et des expressions soulignent la perfection du pain, « nettement », « avec application » et « sans un regard pour ».

Francis Ponge propose à la fois une vision péjorative du pain. Ce qui peut avoir pour but d’interloqué le lecteur après l’avoir bien mis en valeur il est maintenant dénigré. Le tiret symbolise la rupture entre la description de la croute et de la mie. Avant le tiret la croute est décrite de façon méliorative mais après le tiret la mie est décrite de façon péjorative. Ce qui provoque cette nette rupture est le tiret mais l’expression « sans un regard pour » la met encore plus en valeur. Ponge décrit l'intérieur du pain de façon très péjorative. La mie y est décrite comme « lâche », « amorphe » et même « ignoble ». Tout c’est adjectif participe à la décadence de la mie mais les verbes marquent aussi un processus de détérioration. « rassit », « fanent », « se rétrécissent » jusqu’à devenir « friable » tous ces verbes sont conjugués au présent de description ce qui montre que Francis Ponge veut nous montrer le pain dans tout ses états. Cette chronologie peut être interpréter comme la fin de vie de toute chose sur cette terre.

Le poème est construit de façon très réfléchie. Le poème a une structure complète et Francis Ponge a agencées les parties entre elle avec des connecteurs logiques. « D’abord » pour le paragraphe 1 ce qui lui permet de d’écrire précisément sont sujet. « ainsi donc » pour le paragraphe 2. Enfin « ce » pour le paragraphe 3, c’est un déterminant démonstratif qui a pour but de faire le lien avec le sujet qui était évoquer précédemment. Et pour la leçon de chose il emploi « mais » Ce qui montre que l’important n’est pas la description du pain ni les deux autres lectures du poème possible mais bien ce qu’il va dire après ce connecteur logique. A la fin 2e paragraphe il y a cette phrase « sans un regard pour la mollesse sous-jacente. » elle d’écrit enfaite la mie et dans le début du 3e paragraphe le sujet est justement la mie. Le poète a donc subtilement fait le lien entre le 2e et le 3e paragraphe juste grâce a la construction du texte.s

...