La satire - Orale - Tartuffe ou l'imposeur
Commentaire de texte : La satire - Orale - Tartuffe ou l'imposeur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Throwaway • 29 Mars 2016 • Commentaire de texte • 1 375 Mots (6 Pages) • 1 850 Vues
Alexandre Th. Jost
M. Mandon
09/03/16
Les formes et limites de la satire
Orale - Tartuffe ou l’Imposteur
Dans Tartuffe, Molière utilise la satire de la fausse piété (et l’homme qui ce cache derrière) et l’aveuglement. Par exemple, dans l’Acte III scène iii, la célèbre scène quand Organ, sous la table, apprend enfin la vérité sur la soif de Tartuffe pour Elmire, la femme d’Organ.
Avant cela et pour saisir cette passage dans son entièreté, il faut alors noter que, premièrement, Tartuffe se présente comme un dévot qui a convaincu Orgon de sa propre piété. On le voit à travers Orgon, l’homme de la maison, quand il confie à Cléante, son beau-frère, le récit de sa première rencontre avec Tartuffe:
Orgon (à Cléante)
Chaque jour à l’église il (Tartuffe) venait, d’un air doux,
Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux.
Par l’ardeur dont au Ciel il poussait sa prière:
(Acte I, scène v)
- Explication du passage
- Autre exemple? :
- acte II scene ii pg 65 vers 449, 450
Deuxièmement, Orgon est tellement inspiré de sa devotion qu’il va alors l’accueillir chez lui non pas comme un simple homme de foi, même aussi comme un frère perdu:
Orgon (à Cléante)
De toutes amitiés il détache mon âme;
Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme,
Que je m’en soucierais autant que de cela.
(Acte I, scène v)
- Explication du passage
- Développement avec exemples:
- souci pr tartuffe, mais rien pr la fille gravement malade (Acte I, scène iv pg 53 vers 231- 258)
- explication en renforçant passage original
- Dorine qui explique à Cléante l’amour d’Orgon pour Tartuffe (Acte I, scène ii, pg 51 vers 179-210)
Ainsi, on peut mettre en contexte la satire de Molière vis-à-vis de la fausse piété et l’homme qui se cache derrière:
Tartuffe (à Elmire)
Ah ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homme;
Et lorsqu’on vient à voir vos célestes appas,
Un coeur se laisse prendre, et ne raisonne pas.
Je sais qu’un tel discours de moi paraît étrange;
(Acte III, scène iii)
Là on comprendre qu’en réalité, Orgon à invité un homme qui prétend être dévot, un dévot qui a non seulement obtenu sa confiance, mais qui veux séduire sa femme. C’est à une tel point qu’il chausse d’autre hommes de la maison:
D’ailleurs, de commettre l’adulterie, il faut oser. De le commettre dans la maison de l’homme traie, ç’est d’autant plus grave. Mais qu’un homme pieux, sous la toit de son frère perdu ose séduire sa femme devient une exagération comique, de plus que l’homme traie est en-dessous la table à deux pas de Tartuffe et Elmire. C’est presque impossible d’y penser à une tel le situation.
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