La rencontre du bédouin

Introduction :

1) accroche, amorce :

Je vais a présent vous présenter une analyse lineaire de l’extrait de l’œuvre «Terre des hommes» d’Antoine de Saint-Exupéry de 1939.

Antoine de Saint-Exupéry est un écrivain français du XXe siècle. Il a publié plusieurs romans, comme «Terre des hommes», en 1939. Dans cette œuvre autobiographique, il évoque une série d’événements de sa vie. La partie importante de son récit est le crash de son avion avec son mécanicien, André Prévot, dans le désert libyen en 1935. Ils ont failli mourir de soif, jusqu’à ce qu’un bédouin les a aperçus de loin et leur sauve la vie.

Le texte étudié est vers la fin du roman, plus précisément à la fin du chapitre VII, mais j’ai l’impression que ça ressemble plutôt à une toute fin de roman qui se termine bien.

Je peux donc me poser comme problématique :

Comment Antoine de Saint-Exupéry, à travers le texte, a rendu l’eau et le bédouin comme des puissances divines ?

On peut distinguer trois étapes dans ce texte. Dans un premier temps, Antoine de saint exupery évoque la rencontre avec le Bédouin, et la considère comme un miracle. Dans un 2e temps, l’écrivain est tellement heureux et soulagé de pouvoir boire de l’eau qu’il la considère comme une source divine. Enfin, dans un 3e temps, Antoine de St exupery remercie excessivement le Bédouin en le prenant pour un archange.

Partie 1 : LA RENCONTRE DU BÉDOUIN, UN MIRACLE :

Le texte débute par le complément circonstanciel de manière «sans hate» dans la phrase, ligne 1 : Et voici que, sans hâte, il a amorcé un quart de tour, pour nous dire que le bédouin les a bien vu. Pour lui, tous ses problèmes se résoud. Je constate ensuite une anaphore en ligne 1 et 2, qui est « à la seconde près », et une répétition du terme «quart de tour » pour montrer que le fait de les avoir vus et de venir vers eux va être un grand événement marquant de sa vie, à un point ou il le considère à la ligne 5 comme un Dieu, je cite : « il me paraît semblable à un Dieu… » et aussi avec une métaphore a a ligne 6, je cite : Il marche vers nous sur le sable, comme un dieu sur la mer…

Le mot « Arabe » à la ligne 7 sert à faire comprendre au lecteur qu’il s’agit d’un Bédouin. Je cite : « Il a pressé, des mains, sur nos épaules, et nous lui

avons obéi.» ligne 7. Les deux naufragés sont devenus rapidement comme deux esclaves du Bédouin. Vient ensuite la métaphore « comme des veaux » en ligne 11, indiquant qu’ils ont perdu la manière de boire de l’eau. Par cette manière, ils ont effrayé le Bédouin, je cite : « Le Bédouin s’en effraie et nous oblige, à chaque instant, à nous interrompre. Mais dès qu’il nous lâche, nous replongeons tout notre visage dans l’eau.» ligne 11 et 12. L’eau est devenu leur seule et unique besoin, ils étaient déconnectés du monde.

Partie 2 : VENERATION DE L’EAU :

Je cite : « Eau, tu n’as ni goût, ni couleur, ni arôme, on ne peut pas te définir, on te goûte, sans te connaître. Tu n’es pas nécessaire à la vie : tu es la vie. » ligne 14 et 15. Antoine de saint exupery énumère plusieurs caractéristiques minimisant l’eau, limite il la méprise. Et juste après, elle devient la vie, c’est une opposition, aussi, il s’adresse à l’eau, en utilisant une personnification de celle ci. Il finit par la considérer comme divine, par une métaphore en ligne 25, je cite : tu es une ombrageuse divinité…

Partie 3 : VENERATION DU BÉDOUIN :

A présent, il s’adresse au Bédouin, je cite ligne 27 : Quant à toi qui nous sauves, Bédouin de Libye, en commençant par des éloges en utilisant une répétition de « tu es », en lui donnant une multitude de qualités. Pour finir, avec une métaphore, je la cite : grand seigneur qui as le pouvoir de donner à boire, le prenant pour une divinité alors qu’à la base, ils ne se connaissent pas.

à travers le Bédouin, il considere que tout le monde devient son ami, je cite :Tous mes amis, tous mes ennemis en toi marchent vers moi, et je n’ai plus un seul ennemi au monde. Ligne 33. Antoine de st exupery voit tous les etre humains du monde comme des anges gardiens, à l’image du bédouin et de sa générosité.

CONCLUSION :

En conclusion, je trouve que la manière qu’a utilisé Antoine de st exupery pour présenter ce sauvetage comme un miracle n’est pas si surprenante que ça, car, pour moi, il est totalement naturel de vénérer l’eau ainsi qu’une personne qui nous la donne lorsqu’on se retrouve perdu dans en endroit sans eau comme le désert, même si on ne connaît pas cette personne la, surtout lorsqu’il s’agit de sauver sa vie. Elle devient un héros.

Je vais repondre a la question 3 du devoir :

Je vais modifiez la phrase suivante « Il a pressé, des

mains,

...