La princesse de Clèves

        Anaïs Fiolet

Dissertation français

La princesse de Clèves

        En 1678, le roman la princesse de Clèves est publié anonymement par madame de la Fayette. Le roman fait l’objet d’un vif débat littéraire dans la société du XVIIe siècle et devient rapidement  

une œuvre littéraire française de grande importance, en raison des thématiques abordées. Contant les aventures et drames à la cour des Valois dans les dernières années du règne d’Henri II, le roman va alors s’inscrire au courant de la préciosité et influence dans son écriture par le jansénisme. Madame de la Fayette va évoqué une contrainte que peut constituer la société, avec ses règles sociales, des personnages du roman sur les relations amoureuses. Le sujet vient mettre en valeur le fait que la société constitue une contrainte majeur vis-à-vis des sentiments amoureux éprouvés par les personnages. Cependant, on peut se demander si la société constitue une contrainte suffisamment importante pour le personnage. Premièrement, nous verrons que les règles sociales peuvent être considéré comme un obstacle au sein des relations amoureuses. Ensuite, nous regarderons de plus près si l‘éducation est véritablement l’obstacle à l’amour. Et pour finir, nous analyserons la vision tragique de la passion, ce qui remet l’amour en question.

Les règles sociales sont apparues au fur et à mesure du temps, elles vont instaurées des critères au sein de la société qui va amenés à des obstacles aux relations amoureuses. Au XVIIIe siècle, divorcer et tromper était très mal vue et pouvait avoir des conséquences, comme trouver un mari qui accepterait de se marier à une femme qui à déjà était marié et surtout qui a trompé. l’exemple parfait des ces évènements, de la difficulté de refaire sa vie, est la Marquise de Mertueil, qui provient des liaisons dangereuses de Pierre Choderles. La Marquise de Mertueil est démasquée par la société, elle est alors libertine ce qui va alors démontré que la tromperie, le divorce ou encore le «  remariage » va amené à la mort au XVIIIe siècle. Mais divorcer ou encore même tromper n’est pas le seul obstacle des règles sociales au sein des relations amoureuses, le mariage arrangé est l’un des principaux obstacles des relations amoureuses. Nous pouvons mettre en lien avec la Princesse de Clèves, qui a dût choisir un prétendant parmi les trois présentés, au XVIIe siècle, les mariages arrangé vont évoqué une coupure de la liberté au sein de la société. La description des alliances royales traduit dans le roman l'émergence d'un ordre matrimonial séculier dans lequel les enjeux de pouvoir sont le seul horizon. En effet, le vaste tableau des affaires de la cour de la première partie du roman montre à l'envi qu'il est avant tout question, dans la société de cour, des alliances matrimoniales conçues comme affaires publiques intéressant la gestion de l'Etat. «L'ambition » et «la galanterie » en règlent les mouvements, les cabales et les jeux entre les coteries en sont les points d'ancrage. Ce qui coordonne l'ensemble, c'est naturellement les rapports entre le mariage comme système d'alliance politique et les rapports passionnels entre individus avec lesquels ce système doit compter et qu'il a pour charge de maîtriser ou d'englober. Cependant, malgré les conditions et les conséquences des règles sociales, celle-ci peut alors nous amené sur une bonne voie. Les règles sociales vont évolués d’ou le mariage arrangé va diminué selon les pays, et surtout le divorce va être reconnu de normal dans la société.

...