La princesse de Clèves

• Dans cette société au code particulier, certains personnages n’arrive pas à suivre ces règles , Ni à trouver la juste place, milieu dans la société. C’est alors le cas de Mademoiselle de Chartres ayant reçu une éducation très sévère. Ou encore le cas de Madame de La Fayette appartement à une société centré sur l’apparence mais aussi les faux-semblants mais exposer au regard de tous. Cette société impose beaucoup de règles strictes que la course doit d’appliquer afin de respecter les principes mondains.
• La cour est un lieu d’influence, l’individu a en permanence sa vie exposée aux yeux de tous car les membres de la cour passe leur temps à s’observer et se juger.
• Comme par exemple lors de la présentation à la cour, ou également la scène du bal, il y a donc cette nécessité de mentir de dissimuler pour pas trahir les codes de la société. C’est le cas de la princesse de Clèves qui évolue dans cette société et qui voit également son secret, ses sentiments pour le duc de nemmours devenir le centre de toutes les conversations à la cour. Pour autant il est important d’en montrer le moins que possible. Pour paraître admirable dans ce monde et telles que tous essayent de se montrer et de briller par leur allure, leurs conversations et actions.
• La morale du XVIIe siècle prône la bienséance et l’exemplarité. Réputation et vertu sont les mots-clés de cette morale car il faut avant tout garder la maîtrise de soi-même tout le temps maintenant des apparences vertueuse. L’individu est soumis à des codes moraux et sociaux qui lui impose la société. Il doit rester à distance des idées et des comportements qui ne répondent pas à ses codes
• malgré tout on s’aperçoit que dans l’univers de lettres et du paraître il est impossible de terre sa vie privée car celle-ci sera forcément critiqué, afficher ou encore juger publiquement un jour. En outre, c’est pour cela qu’il y a la présence permanente du masque, d’un jeu social qui empêche l’épanouissement du mois profond. Puisque la princesse de Clèves ne doit donc pas montrer ses sentiments et sa passion car les valeurs, les normes et les principes qui corsètent la société ne donne pas le droit a cette passion en raison de monsieur de clèves qui est son époux. C’est temps-ci, que la princesse ne dis rien pour ne pas attirer les regards exemple le vol du portrait, tout était calculé pour préserver sa passion loin des regards de tous.
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• Cependant le princeesse ne pouvait continuer a mentir, à ce priver de cette liberté. En effet, la passion je viens de l’étymologie passion qui signifie souffrance, donc d’après son ethymologie la passion signifie s’accrocher à quelque chose ou quelqu’un par la souffrance. Ainsi, la princesse de Clèves on vient à la sacralisation du mariage par la religion lors de la scène des vues à son mari. Elle avoue enfin sa passion qui la dévore depuis quelques temps pour Monsieur nez Moor. Par rapport aux conséquences et à la culpabilité qui va suivre.  Saut mais au moins les remords permanent et la culpabilité qui ronge est tu l(espoir de liberté la princesse on viendra pas avouer ses sentiments à Monsieur donnez Moor, les aveux réciproque. Mais débouchera sur la prison, elle n'est pas libre, examen de conscience. Lorsqu’elle part au couvant. En effet Madame de Clèves s’est découvert elle-même, lors du déroulement du roman elle accède progressivement à une compréhension de ses sentiments. Ce processus de maturation s’accompagne d’ailleurs d’un accès progressif à une parole maîtrisé et autonome. Alors qu’elle parle très peu au début du roman, l’héroïne se montre capable, dans la dernière partie de l’œuvre, d’exposer au duc les raisons de son refus de l’épouser, de se priver de sa passion en en discours long parfaitement construit. Elle acquiert donc sa propre autonomie.
• Elle suggère donc qu'il ne mérite plus son amour et que leur histoire ne méritait plus d’être. Malgré ses événements Madame de Clèves continue de s’attacher à Monsieur nemmours par la souffrance de cette amour impossible. En effet dans ce roman tout est lié par la souffrance amoureuse d’autrui. Elle est d’ailleurs alimenté par la jalousie qui tourne entre chaque personnage, cette jalousie qui peut amener jusqu’à un chagrin mortel comme ce qui est arrivé à Monsieur de Clèves et Madame de Clèves à la fin du roman.
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• Par la suite, on remarque que les personnages principaux finissent tous seuls à vouloir s’écarter de cette passion qu’ils ne peuvent contrôler et qu’il est fait souffrir énormément. C’est un destin cruel pour tous, C’est une idée de cycle infernal, de tragédie. Car en effet à la fin du roman Monsieur de Clèves meurt de chagrin, la deuxième scène du pavillon qui entraine sa mort basé sur un malentendu. Madame de Clèves se doit forcé de partir c’est exilé aux Pyrénées pour chercher la sérénité, sa douleur fut trop forte et elle Moura quelques années plus tard sûrement de chagrin de ne pas avoir pu vivre sa passion et sa liberté. Elle se sent coupable de la mort de Monsieur de Clèves il y a de nombreux remords.
• Monsieur de Nemmours mourat dans un chagrin profond et difficilement guérissable par la faute de Madame de Clèves qui n’a pas voulu l’épouser sachant que les sentiments étaient réciproques. Ce qui va mieux aussi l’entraîner vers une mort tragique. La passion amoureuse dans ce roman est particulièrement néfaste et procure à tous ces personnages seulement de la souffrance est une solitude sans fin puisque la souffrance que donne cette passion n’est qu’infini.
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