La chanson de Roland.

La chanson de Roland

Introduction

• La chanson de Roland est un poème épique et une chanson de geste du 11e siècle qu’on attribut a Turold
• La chanson de Roland comporte environ 3000 ver, elle relate le combat fatal du chevalier Roland et de ses preux (vaillant) fidèle à la bataille de Roncevaux
• C’est un exemple de chanson de geste (action aventureuse) par le glissement progressive de l’histoire a la légende et pas la célébration épique des vertus chevaleresque : l’honneur et la foi

1. Le personnage de Roland

Le comte Roland est un homme de confiance pour charlemagne. Personnage s’illustrant contre les sarrasins.

Roland → héro épique = suscitant une admiration / un héros fictionnel peut être le modèle et une nation.

Roland → représentatif de la grandeur d’un pays

• Le héros apparait en action grâce aux verbes « chevaucher » « faire » un lien étroit associe Roland a son épée sans elle il ne peut représenter le héros épique
• Elle est la main de Roland l’utilisation de l’adverbe bien montre la violence et la perfection du geste « bien tranche et bien taille »
• Le résultat se traduit par une hyperbole et une victoire de Roland «  grand massacre »
• Malgré son piteux état Roland est indestructible il est le héros typique que rien atteint ses armes sont représentatives de son courage il a échappé a la mort grâce à elle et a son témerer cheval
• L’auteur accentue implicitement son courage et sa témérité grâce à l’adj indéfini « tout » qui se réfère aux armes qui ont tuées
• Il accentue par l’énumération de celle-ci « haubert » puis est évoqué son corps qui pareillement est recouvert du sang de ses ennemis « bras »
• Pour terminer avec l’extraordinaire et la dimension épique l’auteur évoque également le cheval qui pareillement a son maitre est ensanglante

1. la dimension épique du héros ?

« Bataille » = 2 attributs par 2 adj → « merveilleuse » « générale »

Cheminement « épique » (adj de l’épopée) dès la première phase

Plusieurs éléments démontrent l’écriture épique dans ce texte

→ Le cadre = « la bataille »

→ L’effet de globalisation = « extraordinaire,  merveilleux, presque magique »

« Il frappe » → commencement de l’action

Il → anaphore (1ER paragraphe) ici le héros est placé comme sujet de l’action grace a des verbes d’action au présent = prédominants

traduisant ses gestes héroïque « frappe » »tire » »rompt » »tranche » 

Attributs mis en valeur → « lance, épée, cheval »

Champs lexical de la     du guerrier et de l’artillerie  «épée »  « heaume » « coiffe » « haubert »

• passage imaginé (pour impressionner le lecteur) mais précision de la description physique au niveau du visage n’est pas présente = comme par ex traits du visage

« Quinze coups » → usage du pluriel / caractéristique de l’écriture épique

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