L'hypocrisie dans le Rouge et le noir de Stendhal
Dissertation : L'hypocrisie dans le Rouge et le noir de Stendhal. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ALI1125 • 6 Mars 2022 • Dissertation • 1 034 Mots (5 Pages) • 773 Vues
Au 19e siècle très rares sont les écrivains qui critique leurs société mets Henri Beyle, plus connu sous le nom de Stendhal, critique constamment la société de son temps à travers ces ouvrages ,en particulier dans le rouge et le noir, où il accentue plus sa critique sur l'hypocrisie de toute la société de 1830 et il n'en m'épargne même pas son personnage principal Julien Sorel qui pour attendre ce rêve d'ascension sociale fait preuves de beaucoup d'hypocrisie. Mets on peut distinguer une forme de différence entre l'hypocrisie de Julien et l'hypocrisie de la société. On peut donc se demander de quelle manière l'hypocrisie de Julien est elle singulière face celle de toute la société de son temps ? Pour répondre à cette problématique nous allons donc étudier l'hypocrisie de la société à ses différentes échelles sociales puis dans un second temps nous allons étudier l'hypocrisie de Julien et les différences qu'elle a avec celle de la société de 1830.
L’hypocrisie dans son premier sens est le caractère d’une personne qui dissimule sa véritable personnalité et affects des opinions ,des sentiments ,des qualités qu’elle ne possède pas par intérêt cette définition définit bien l’hypocrisie des plébéiens, de la petite bourgeoisie et de la bourgeoisie (sous l’ancien régime était le tiers état) qui vont condamner leur congénères pour. Et qui vous montrer une politesse exagéré envers les plus nobles pour s’attirer leurs bonnes faveurs mais pas envers les moins nobles qu'eux, « c’étaient de pauvres hères plus ou moins plats[…] il n’était pas plats également pour tous»( livre 2 chapitre 4). Ils vont même s’accommoder aux goûts et aux sentiments des aristocrates , qu’il ne partage pas forcément , pour leur plaire « complaisant » on abordons pas les sujets qui ne leur plairait pas « pourvu qu’on ne plaisantais ni de Dieu, ni des prêtres, ni du roi, ni des gens en place, ni des artiste protégé par la cour, ni de tout ce qui est établi ; pourvu qu’on ne dit du bien ni de Béranger, ni des journaux de l’opposition, ni de Voltaire, ni de Rousseau, mais de tout ce qui se permet un peu de franc-parler., pourvu surtout qu’on ne parlât jamais politique, on pouvait librement raisonner de tout. », ils ne peuvent même plus penser« les jeunes gens qui venaient rendre des devoirs ayant peur de parler de quelque chose » car « la moindre idée vive semblait une grossièreté », Julien lui-même qualifie cette atmosphère« d’asphyxie morale» et ils font beaucoup d’autres simagrées semblable. Est l’exemple même de ce comportement c’est Monsieur Descoulis qui« est capable de cultiver un mensonge […]pendant des années de suite » pour se faire bien voir de la noblesse et qui lorsqu’il a quelques services à demander va se fâcher puis se
réconcilier avec beaucoup d’épanchement. Il essaie d’être « intriguant » comme les autres bourgeois et plébéien. Ils peuvent aussi être très duplice« tous me sont tombés dessus, jusqu’aux maçons que je faisais vivre depuis un an, jusqu’au Charron qui voulait me friponner impunément en racommandant mes charrues. ».
Ce sont pas les seuls qui font preuve de cette hypocrisie là le clergé notamment les séminaristes qui s’engagent dans l’église uniquement pour avoir du pain et
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