L'EXTRAORDINAIRE
Commentaire de texte : L'EXTRAORDINAIRE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar OceaneLvg • 19 Janvier 2017 • Commentaire de texte • 580 Mots (3 Pages) • 2 139 Vues
THEME 2 : L’EXTRAORIDNAIRE
EN UNE PAGE, QUELLES SONT LES IDEES ESSENTIELLES DEVELOPPES PAR LES AUTEURS DE CES TEXTES SUR LE THEME DE L’EXTRAORDINAIRE ?
TEXTE A : ANNICK DUBIED ET MARC LITS, Le fait divers
Dans cet extrait essai, ces deux auteurs s’intéressent aux faits divers qui prennent beaucoup de place aujourd’hui dans notre société. Ils expliquent leur démarche tentant de définir ce genre d’article et explique sa réelle liaison avec l’extraordinaire.
Le fait divers est une rubrique de presse qui comprend des informations sans portées générales, relatives à la vie quotidienne. Cette rubrique apparemment énormément aujourd’hui dans notre quotidien, que cela soit dans les journaux et magazines, à la télévision, sur internet ou à la radio. Les auteurs de cet essai expliquent que les faits divers ne sont pas d’aujourd’hui, ils sont apparus à la fin du 16e siècle, mais ils remarquent que ces faits répondent à des besoins de l’homme plus profond. Les auteurs développent dans cet essai le fait que ces rubriques sont aujourd’hui encore omniprésentes car elles divertissent. Les auteurs lient ces articles de presse au thème de l’extraordinaire puisque les faits divers sont des histoires plus ou moins vraies écrites par des journalistes dans le but de nous divertir.
Pour rendre compte du caractère extraordinaire de l'événement, le journaliste utilise différents procédés d'accroche (titre, photo), d'insistance (répétition, énumération), et de dramatisation (choix des mots, paroles rapportées, comparaisons...). On pourrait parfois croire que ces articles sont des histoires inventées et pourtant non, ces faits sont or nomes c’est pour cela qu’ils sont liés au thème de l’extraordinaire.
TEXTE B : THIERRY PAQUOT, Le quotidien urbain
L’extrait de l’essai de Thierry Paquot nous permet de comprendre l’aspect social de l’extraordinaire en parlant de la rupture avec le quotidien. Il explique dans son essai, que les désordres ponctuels garantissent la pérennité de l’ordre urbain. Les fêtes qui engendrent l’imprévu, le désordre permette à l’Homme de repartir du bon pied, de remettre de l’ordre. Ces journées de coupures permettent à la société de surmonté la « normalité » de d’atteindre une forme de liberté. C’est pour cela que l’auteur, spécialisé dans l’étude des villes, arrive à faire le lien avec le thème de l’extraordinaire : par ces journées l’Homme atteint une forme de « tout possible » qui coupe court au quotidien : la normalité. Cet esprit de fêtes amène à nous rapprocher de l’extraordinaire par son insouciance, l’irrespect des règles du quotidien, le déconcertant…
La vie est vu comme une succession de jours remplie de banalité, pour ne pas tomber dans l’ennuie, la présence de l’extraordinaire comme les festivals, carnavals et autres fêtes nous permet de ne pas tomber dans l’ennuie.
TEXTE C : HARUKI MURAKAMI, Autoportrait de l’auteur en coureur de fond
Dans son essai autobiographique l’auteur Haruki Murakami explique lors d’une de ses courses, l’affranchissement d’un palier touchant à l’extraordinaire. Lorsqu’il eut affranchi ce fameux palier, il explique ses sensations de bien être comme si son corps acceptait la douleur et son état de fatigue extrême naturellement. Cet état le laisse donc se sentir complétement normal. Il explique qu’il était donc, pendant un moment, dans un autre monde, où la souffrance physique laissait place à une forme plénitude, lui permettant de doubler plusieurs autres coureurs. Il lui cette expérience au thème de l’extraordinaire, par la non-normalité de sa performance. Ces moments appartenant à l’extraordinaire permettent la découverte de sentiments nouveaux ou plus forts, de rentrer en plénitude et de se mettre le temps d’un instant en marge de la société.
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