Intro chimères d'en ville

L’extrait de l’oeuvre que nous allons étudier est issu du roman Chimères d’en ville dont le thème principale est la noirceur. L’oeuvre a été écrite durant les années 1980 par Raphael Confiant un auteur martiniquais né en 1951. C’est un militant de la cause créole et à crée en 1970 avec l’aide de Jean Bernabé et Patrick Chamoiseau le mouvement de la créolité, né aux Antilles.

La belle Adelise est une jeune femme vivant à Fort-de-France, dont Homère, un homme de la compagne martiniquaise, est tombé amoureux. Cet extrait étant focalisé sur la couleur noire fait référence au dictionnaire d’Adeline destiné à rendre compte de la culture créole, oubliée dans les dictionnaires traditionnels. Nous allons étudier cette ouvre en essayons de répondre à notre problématique : Qu’est ce qui démontre que l’héroïne tient un combat contre le racisme ?

Dans un premier temps nous allons étudier comment la narratrice perçoit la noirceur en nous tournons sur les différentes invocations du mot noir et sa valorisation puis L’affirmation de la couleur noir. Pour terminer nous allons voir en quoi ce récit est engager contre le racisme en commençant par les opinions de l’héroïne et enfin par un récit lyrique.

Le principale combat des nègres est l’égalité des couleurs qui dans cet extrait est très ressentit d’abort par l’évocation du mot noir qui est omniprésent aux lignes 1,4,9,10, noir étant aussi le premier mot de l’extrait. À la ligne 5 « Il n’y a rien de plus noble que la noirceur », nous pouvons voir ici une antithèse opposant la noblesse qui est normalement la couleur blanche à l’esclavage qui elle est de couleur noir, nous pouvons dénoncer leurs besoins de changement. Ensuite l’auteur utilise les plus grandes sources d’énergie, ce qui constitues notre monde pour amplifié la noirceur dans les lignes 11 à 13 car la locutrice invoque les éléments de la nature « mer », « ciel », « astres », « soleil » qu’elle attribut au mot « noir ». De la ligne 1 à 2 « J'écris ce mot partout. Je le griffonne sur ma table du cours d'adultes. Je l'inscris avec une pointe de charbon de bois sur le premier mur rencontré. » Ces 3 phrases signifient beaucoup de chose. D’abord les compléments circonstancielles de lieux qui sont des endroits évidents et accessibles confirme les propos de l’héroïne « partout », « sur ma table », « le premier mur rencontré. », puis le champs lexical de l’écriture nous fais passer un message des les premières lignes « écrire », « griffonner », « inscrire », nous pouvons voir aussi que l'auteur renforce l'idée de noir par une emphase « je l'inscris avec une pointe de charbon de bois.. » ce qui signifie écrire le mot noir avec du noir. En effet comme nous pouvons le voir Adeline nous initie directement au thème fort qu’est la noirceur que nous pouvons deviner en lisant la 1ère ligne« NOIRCEUR : Noir. » car des les premières lignes elle a pour but de nous imposer une vision destinée à convaincre qu’être noir c’est aussi s’assumer.

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