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Fiche de révision pour le texte d’Albert Camus

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Par   •  26 Juin 2018  •  Fiche de lecture  •  1 919 Mots (8 Pages)  •  1 023 Vues

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Fiche de révision pour le texte d’Albert Camus

Albert Camus est né en Algérie en 1913 et est mort en 1960 à Villeblevin, dans l'Yonne. C’est un écrivain important de 19ème siècle.Il est rattache au mouvement de l’existentialisme : crée par Sartre

Il forme sa propre pensée : la pensée de l’absurde.

PB : Comment Camus à travers la description d’une projection au cinéma critique-t-il la société ?

I. Une projection animée

A/ Du bruit et du mouvement

idée : le public est bruyant et agité

        → le champs lexical du bruit (    )

        → les formes en -ant portent l’idée que l’action est en cours (entouré en rouge)

B/ Différence de classe

idée : le moment de la projection est socialement marquée

        → différence d’assise (mauvais fauteuils de bois … bruit / les bancs – ligne 5)

        → différence d’entrée (à qui on ouvrait … dernier moment – ligne 6/7)

        → prestance de la grand-mère (elle écarte le petit peuple, sa tenu)

II. Une fracture sociale

A/ Une fausse prestance

idée : la supériorité apparente est fausse

        → description dépréciative des réservés (mauvais fauteuils en bois)

        → la supériorité sociale se construit seulement sur des attitudes

        → « l’éternelle » robe noir (robe de tous les jours) opposé à la broche d’argent

        → « escortait » : emploi ironique

B/ Les « primitifs »

idée : le « petit peuple » est représenté comme inférieur

        → le petit peuple qui est décrit comme des animaux avec le bruit.

        → les agents de sécurités avec leur nerf de bœuf pour faire renier l’ordre.

        → l’assimilation au méchant du film

III. Une réflexion sur la fiction

A/ Le film cliché

idée : le film représenté est entièrement mécanique et n’a pas d’intérêt

        → il se passe toujours la même chose : emploi du déterminant défini sa montre que les personnages sont des types + l’emploi d’un imparfait de répétition + les adjectifs qui caractérisent des héros stéréotypés (   )

        → le « comment » (ligne 18) remplace le « si » dans la répétition, suppression du « doute », du danger de mort. Le film transpose l’idée d’un dieu « providentiel » qui sauve l’homme de la mort car justement le héro ne peux pas mourir.

B/ L’art enfermé

idée : le texte propose une réflexion sur l’art

        → les formes d’art présentes dans le texte sont l’inverse de la pensé de Camus.

        → analyse de la figure de la pianiste

        → métaphore dépréciative : « film en tranche » assimile l’art à de la nourriture.

Le film est un miroir inversé. Pour Camus au contraire, l’art est essentiel. Il est nécessaire au progrès humain et social. Ici, le texte distingues « les spectateurs arabes et français », la virgule insiste dessus et le « et aussi ». L’art devrait abolir cette frontière au lieu de la renfoncer en assimilant une partie du public à des sauvages.

Fiche de révision pour le texte de Marguerite Duras, Un barrage contre le Pacifique

Marguerite Dumas est née en 1914 à Gia Dinh (près de Saïgon en Indochine française) où elle reste jusqu'à l'âge de dix-huit ans. Elle viens en France pour faire c’est études et travaille en tant que  secrétaire au Ministère des Colonies, de 1935 à 1941. Pendant la guerre, elle entre dans la Résistance.

Elles a écrit des romans et récit, des pièces de théâtres et des recueils.

PB : Comment Suzanne redonne du sens à sa vie à travers l’héroïne du film ?

I. La consolation du cinéma

A/ La solitude du personnages

        → rythme qui montre la marche saccadée (avec la ponctuation)

        → phrases négatives : elle est coupée des autres → solitude (    )

B/ le cinéma comme refuge

        → sécurité au cinéma, le piano qui commence + la lumière qui s’éteint = effet de transition  = sort de la réalité misérable de sa vie (sentiment d’invulnérabilité, invincible, invisible).

         → métaphore de l’oasis (le cinéma pour sauvé Suzanne de sa vie / l’oasis pour sauvé de la mort)

        → accumulation de « nuit » (    ) (être seul mais ensemble → chaque dans sa bulle / égalité des spectateurs)

II. Le rapport entre Suzanne et la femme

A/ L’opposition

        → différence sociale (Suzanne existence misérable / la femme riche, belle …)  

        → répétition des présentatifs qui fait tout apparaître comme une évidence

        → opposition de liberté : Suzanne sous la tutelle de sa mère ; la femme : libre comme un navire donc idée de puissance, de liberté, de déplacement.

B/ Le désir d’être l’autre

        - répétition exclamation (ligne 27/28 « on voudrais bien … le voudrait ») l’envie d’être a la place de l’héroïne est exprimer clairement.

        - emploi de « on » (    ) + l’emploi du présent d’actualité = rend plus vivant et plus présent les spectateur.

        - puissance de la femme fatale relié au sentiment de puissance chez Suzanne. Qualification positive. La femme avance au milieu de ses victimes / Suzanne se sent invincible, invisible.

III. Le cinéma pour bâtir sa vie

A/ Le cinéma comme baptême

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