Exposé princesse de Clèves

Exposé princesse de Clèves :

Plan :

1. Le portrait physique et morale de la princesse de Clèves

• Portrait physique
• Portrait morale

1. Madame de Clèves : allégorie de la vertu
2. Un amour impossible

Introduction :

Roman : La Princesse de Clèves fut publiée en mai 1678, sans nom d'auteur, chez l'éditeur Claude Barbin. Au XVIIe siècle, être femme-auteur n'était pas dans une qualité respectable. La Princesse de Clèves qui fut par la suite attribué à Mme de La Fayette peut être considéré comme une œuvre collective. Plusieurs auteurs ont pu participer à certaines étapes de l’élaboration du texte comme La Rochefoucauld ou Madame de Sévigné, amis de Madame de la Fayette. Mais Madame de La Fayette fut l'architecte du roman. C'est elle qui y assura la cohérence. Le nom de l'auteur n'apparaîtra sur la couverture qu'en 1780, soit plus de 100 ans après sa parution. Parmi les différentes adaptations cinématographiques de La Princesse de Clèves, on peut retenir celle de Jean Delannoy de 1961.

PDC : La PDC n’est pas un personnage historique, mais romanesque, inventé par Mme de La Lafayette. Mlle de Chartres (qui deviendra la PDC) est d’une beauté parfaite. Lorsqu’elle arrive à la cour, elle séduit immédiatement hommes et femmes par sa grâce naturelle, son physique décrit par bon nombre d’hyperboles et de superlatifs et sa bonne éducation. Elle se doit d’épouser Mr de Clèves mais tombe amoureuse du Duc de Nemours lors d’une rencontre dans un bal de la cour d’Henri II. Cet amour réciproque ne se verra jamais concrétisé. Rongée par la culpabilité après la mort de son mari, elle décide de ne pas suivre sa passion. Tout au long du roman elle est controversée entre la passion et le devoir. La princesse cache une forme de lâcheté derrière sa grande vertu. Elle décide donc de se retirer de la cour pour un couvent où elle meurt jeune, triste et seule.

1. Le portrait physique et morale de la PDC

Niveau physiquement, dans ce roman, la princesse de Clèves est décrite comme une beauté parfaite. Elle correspond au critère de l’époque, c’est-à-dire qu’elle a les cheveux blond, un teint très pale, très blanc et elle a aussi des traits très régulé

2) Madame de Clèves : allégorie de la vertu

Le personnage de la PDC, est avant tout l’allégorie de vertu morale ou plus précisément de chasteté. Cela signifie que toutes pratiques ou pensées sexuelles et immorales sont bannies.

Dès son plus jeune âge la PDC fut éduquée vertueusement par sa mère en dehors de la cour car elle considère ce milieu comme néfaste, hypocrite et lieu de tentation. A ses 16 ans, elle décide d’emmener sa fille à la cour ; elle y rentre plus vertueuse que jamais promue à un mariage heureux et vertueux avec le Prince de Clèves. Mais comme le redoutais sa mère, la tentation apparait sous la forme du Duc de Nemours. Beau, Tombeur et séducteur, ce dernier à tout pour plaire et la PDC ne manquera pas de le remarquer car elle tombera folle amoureuse de lui et éprouvera une passion sans limite à son égard.

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