Diffusion en direct de Kuroko 1742
Dissertation : Diffusion en direct de Kuroko 1742. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nathan Vazille • 19 Février 2021 • Dissertation • 384 Mots (2 Pages) • 445 Vues
Commentaire
Joy Sorman est une romancière du XXIème siècle, elle publie le roman « la peau de l’ours » en 2014. Nous allons étudier l’arrivée au zoo de l’ours qui est un extrait de ce roman, et voir comment l’auteur perçoit les animaux des zoos. Nous verrons d’abord comment l’auteur critique le zoo puis nous étudierons l'image tragique qui est donnée du personnage.
Tout d’abord l’auteur critique le zoo en s’appuyant sur les conditions de vie des animaux. En effet l’homme ne prête pas attention à cela, comme l’auteur nous le fait remarquer à plusieurs reprises ligne 3 « végétal mensonger », ligne 6 « de lianes peintes sur des bâches », ligne 9 « ruines archéologiques soutenues par des échafaudages », ligne 11 « banquise peinte à la chaux ». Les animaux du zoo ont une santé et des conditions déplorables comme il le dit ligne 13 « strict minimum pour exister physiquement » ce qui prouve que les conditions sont limitées.
Mais l’auteur critique également le zoo avec le nombre et la place que possèdent les animaux. Effectivement de la ligne 19 à 32 l’auteur utilise une énumération de plusieurs types, races et animaux. Tout ces animaux font partie du zoo et « se tienne dans le creux d’une main » comme le cite le texte ligne 35.
De plus une image tragique du personnage est donner dans cette extrais. Ce personnage semble loin du monde et perdu. Dès l’arriver au zoo ligne 2 «je ne reconnais ni terre ni ciel » le personnage est corrompue et ne sais pas où il est. Et cela dur tout le long de cet extrais car ligne 45 « le ciel est si loin au-dessus de ma tête, inatteignable et perdu » il reste dans l’incompréhension et sans repère.
La souffrance du personnage fait également partie de l’image tragique que donne l’auteur au personnage, le mot bêtes est fortement utilisé pour décrire les animaux du zoo et ils sont vu comme une « collection » ligne 16, et « pour satisfaire la curiosité et l’appétit de ces bipèdes sans défense » ligne 38-39. Ce qui montre que les animaux sont absurdes aux yeux des humains, le personnage soufre donc de jugement ligne 46 « banni mais sous le regard de tous » mais aussi d’incompréhension.
Pour conclure
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