Corpus rencontre amoureuse romanesque

Ce corpus repose sur trois extraits de roman qui évoquent le topos d’une rencontre amoureuse. Le premier texte est un extrait de la princesse de Clèves écrit par Madame Lafayette, c’est un texte qui proviennent du XVIIe siècle donc qui fait partie du mouvement classique. Le deuxième texte est un texte du XVIIIe intitulé Manon Lescaut écrit par Abbé Prévost, qui faisait partie du mouvement des Lumières. Enfin le dernier texte est l’incisif d’Aurélien, écrit par Louis Aragon et proviennent du XXe siècle ce qui représente le mouve surréaliste. À partir de ces trois textes nous allons analyser le rencontre amoureuse romanesque. Dans un premier temps, nous étudierons l’évolution du regard amoureuse à travers les siècles puis, dans un seconde temps nous examinerons l’évolution des personnages et enfin nous analyserons les obstacles présentés dans cette rencontre amoureuse romanesque.

Tout d’abord les trois textes nous présente une évolution du regard amoureuse; dans l’extrait de la princess de Cleves nous avons la présence des hyperboles appréciatives de Mme de Cleves qui produit un effet extraordinaire sur Monsieur de Nemours comme illustré dans les lignes 1,2 et 17, « tellement surpris de sa beauté », « son marques d’admiration » «il ne put admirer que madame de Cleves ». Il y’a également monsieur de Nemours qui lui aussi séduit madame de Clèves, « qu’elle avait été touchée de la vue de ce prince ». Dans ce premier extrait nous avons pas de portrait précis pour présenter nos deux personnages, mais nous avons les hyperboles appréciatives pour montrer l’admiration des deux personnages l’un envers l’autre. Dans notre deuxième texte Manon Lescaut, nous avons également la présence de deux personnages.ici nous avons un focalisation interne dans laquelle c’est Des Grieux qui nous donne l’information. Il y'a la présence d’un portrait de Manon en tant que naïf et jeune comme illustré dans les ligne 6 et 8, « quoiqu’elle fût encore moins âgée », « elle me répondit ingénument ». Il y'a également la présence des hyperboles appréciatives de Manon qui produit aussi un effet extraordinaire sur Des Grieux comme montré dans la ligne 2, « elle me parût si charmante » , ligne 4-5, « je me trouvai enflammé tout d’un coup » et ligne 22-23 « la belle inconnue ». À p

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