Corpus : les liaisons dangereuses de Charledos de Laclos, Le Rouge et le Noir de Stendhal et Madame Bovary de Flaubert
Dissertation : Corpus : les liaisons dangereuses de Charledos de Laclos, Le Rouge et le Noir de Stendhal et Madame Bovary de Flaubert. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jds93 • 17 Mars 2019 • Dissertation • 898 Mots (4 Pages) • 2 549 Vues
Pereira
Jordan
1.ES2
Corpus :
Le corpus que nous allons étudier est composé de trois textes. La première est un extrait d’un roman épistolaire qui se nomme Les Liaisons dangereuse. Ce roman a été écrit en 1782 par Choderlos de Laclos, qui lui était un auteur faisant parti du mouvement des Lumières. Ce roman nous raconte l’histoire d’une jeune fille nommé Cécile, qui est âgée de quinze ans. La deuxième œuvre est lui aussi un extrait de roman qui se nomme Le Rouge et le Noir. Ce roman a été écrit en 1830 par Stendhal, qui lui était un auteur faisant parti du romantisme, ainsi que du réalisme. Ce roman nous raconte l’histoire d’un jeu fils de paysan nommé Julien Sorel, qui vient d’être par M. de Rénal comme précepteur. Enfin, la dernière œuvre est lui aussi un extrait de roman qui se nomme Madame Bovary. Ce roman a été écrit en 1857 par Gustave Flaubert, qui lui était un auteur faisant parti du réalisme. Ce roman nous raconte l’histoire de Emma Bovary. Ainsi nous allons pouvoir comparez la manière dont les auteurs des textes nous font accéder à l’intériorité de leurs personnages.
Dans ce premier texte, on peut voir la présence de l’intériorité des personnages.
En effet, de la ligne 1 à 3 ; «je ne suis pas plus instruite », « j’étudie beaucoup… ». On peut voir ici que le personnage se fait une description d’elle même, et elle s’auto-analyse.
Elle parle aussi de son nouveau maitre, qui a ses yeux est le meilleur. Elle nous fait part aussi de son admiration pour celui-ci, disant même que cela soit dommage qu’il ne puisse pas se marier : « Dommage qu’il soit chevalier de Malte ».
Elle nous fait aussi part de ses sentiments, en dévoilant son affection pour lui, et pour Madame de Merteuil : « sont les deux seules personnes que je trouve aimables ».
Enfin, pour terminer, elle dit au revoir à son ami, à laquelle est écrit, en lui disant qu’un important évènement (ici un spectacle de Cécile elle-même), allais bientôt arriver, et qu’elle étudiera jusqu’à ce que lui revienne.
Dans ce premier texte, on peut percevoir l’intériorité du personnage de Cécile, car dès le début, le lecteur est présent dans les pensées du personnage, à travers son auto description, et ensuite, grâce à son admiration pour son nouveau « maitre », et enfin par le dévoilement de ses sentiments.
Dans ce deuxième texte, on peut aussi voir la présence de l’intériorité des personnages.
Tout d’abord, dès le premier paragraphe, on peut voir de la ligne 3 à 5, que Madame de Rénal donne une description d’un jeune paysan (son teint, comment il était habillé, etc.).
Dès le second paragraphe, la description continue, jusqu’à ce qu’on discerne la pensée de Madame de Rénal : « eut l’idée que sa pouvait être une jeune fille », et la pensée de ce qu’il voulait faire : « qui venait demander… ».
Ensuite, on perçoit les sentiments de Madame de Rénal : « eut pitié ». On nous apprend aussi les faits et actes du jeune homme : « n’osait pas lever la main… ».
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