Commentaire su l'aveugle de MAUPASSANT

L’aveugle – Commentaire

La cruauté humaine est un sujet très traité dans la littérature française ; prenons comme exemple Maupassant dans l’aveugle.

Tout d’abord ce texte est une nouvelle réaliste écrite par Guy de Maupassant ; elle est publiée dan le journal « le Gaulois » du 31 mars 1881.

La forme narrative qu’empreinte le texte vise à raconter l’histoire d’un pauvre paysan aveugle ; vivant dans un monde cruel et entourés de gens qui le sont encore plus ; la narration délimitée par le récit cadre (de la ligne 1 à 15 et la dernière phrase du texte) qui met en scène un narrateur vantant les plaisirs de voir le monde de ses yeux comme pour marquer l’opposition avec la tragédie de perdre cette faculté de voir.

L’histoire de l’aveugle est racontée dans le récit enchevêtré (l 16 à 10) ; dans le récit cadre comme dans le récit encadré on retrouve des interventions du narrateur sous forme de modalisation dans les premières lignes du texte le narrateur jouie du bonheur de la vue du monde et affirme implicitement que les sens sont le sens de la vie , dans le récit emboité il semble se ranger du coté du pauvre homme en dénonçant « la gaieté sauvage des brutes qui l’entouraient ».

Ainsi la barbarie humaine dénoncée dans le texte est accentuée par la montée du suspens et la mort blanche qui en résultera a la fin du texte ce sont ces deux éléments que l’ont traitera.

En premier lieu c’est un registre pathétique qui est prédominant dans le texte ; même si l’on note un passage au registre tragique lors de la mort de l’infirme ; il est accentué par le champ lexical de la souffrance « bouffon-martyr, souffre-douleur, supplice » par l’utilisation de figures de style comme la comparaison du comportements des paysans avec le comportement des « poules qui tuent les infirmes d’entre elles ».

De plus on remarque un crescendo tragique de la méchanceté des hommes, qui commence d’abord avec le rejet de l’aveugle par sa propre famille il es « dépouillé de son héritage », ensuite l’aveugle est victime des farces horribles du village « les paysans des maisons prochaines s’en venaient à ce divertissement »ici le narrateur donne l’illusion de réel car en effet dans la campagne tout se sait de bouche à oreille , la gradation tragique abouti à la mort de pauvre homme et même quand l’aveugle décède, on continue à s’acharner sur lui, il reste tout de même une proie même si sa mort fut a un soulagement pour tous, en effet les corbeaux s’abattent sur son cadavre « à moitié dévoré déjà, déchiqueté ».

D’autre part la lecture du texte permet d’établir un schéma bien précis mettant en scène l’aveugle contre tous ; incluant sa famille et es proches qui le traitent de moins que rien ; incluant la nature elle même qui semble s’acharner sur lui « l’hiver était rude et le dégel n’arrivait pas vite » la neige qui tomber lui fit perdre tous ses repères il ne parvient plus à faire un pas et finit par mourir seul ;la vie semble aussi être contre lui en lui offrant des sa naissance un destin tragique qui ne tardera pas à s’accomplir ; toute cette oppression sur l’aveugle installe une tension dramatique au cours du récit.

En second lieu

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