Commentaire littéraire français Montaigne
Thèse : Commentaire littéraire français Montaigne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar papoisy en y • 8 Mars 2021 • Thèse • 471 Mots (2 Pages) • 506 Vues
Commentaire littéraire français
Les activités et principes de l’homme occidentale ont toujours eu pour habitude d’être critiquer depuis des siècles même encore aujourd’hui, sous forme éthique avec le racisme mais aussi sur la forme technique, car les activités humaines nuisent à la terre. Dans les Essaies publiés en 1595, Des Cannibales l’humaniste Michel de Montaigne réalise un texte argumentatif afin de défendre son point de vue dans lequel selon lui les Indiens d’Amérique traité de barbare et sauvage par les Européens de l’époque ne le seraient pas. Par la suite il vient même écrire un éloge des Indiens pour conclure son texte. Ainsi nous allons comprendre comment Montaigne prend-t-il la défense des Indiens.
P1 défends point de vue Indiens non sauvages
Dans ce passage des Essaies de Montaigne, rien que dans la première phrase il pose son avis quant à la fermeté de ses pensées sur les Indiens mais il se permet de nuancer.
Tout d’abord, l’écrivain débute son texte fermement en affirmant que les peuples d’Amérique ne sont pas sauvages : « Il n’y a rien de sauvage dans cette nation. » (L1). Cependant son avis reste subjectif comme le prouve le verbe utilisé : « Je trouve, maintenant ». Néanmoins, il se permet de nuancer son propos : « D’après ce que l’on m’a dit ». Il développe son avis en donnant son premier argument, ainsi il affirme que selon lui le terme sauvage n’est pas attribuable à ce peuple car pour lui si on suit la logique des Européens n’importe quelles sociétés différentes de la leur serait à considérer comme barbare : « Sinon que chacun appelle barbare ce qui n’est pas dans ses coutumes », suite à cela il affirme qu’il n’est pas possible de juger une autre société de sauvage car cette même société se permettant de juger n’a que pour point de vue que ça propre société. « Nous n’avons pas d’autre point de mire pour la vérité et la raison que l’exemple et l’image des opinions et des usages du pays où nous sommes. »
Par la suite contrairement au premier paragraphe ou il ne faisait qu’opposer son point de vue à celui de la plupart des Européens, cette fois-ci il se permet de les critiquer, en utilisant l’ironie avec la répétition d’un terme hyperbolique, « parfait » puis « incomparable ». Il ne s’arrête pas là car il oppose encore une fois les deux sociétés à l’aide d’une métaphore sur des fruits, il compare alors les fruits sauvages censés représenté les indiens ainsi que les fruits artificiels représenté par les Européens les fruits sauvages sont produits ordinairement par la nature tandis que les fruits artificiels ont été altérés par les activités humaines et ne sont donc plus de l’ordre ordinaire faisant des fruits artificiels, les européens plus sauvage car écarté des habitudes de la nature.
P2 éloge des indiens.
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