Commentaire La carte et le territoire michel houellebecq

Cette extrait de texte est tiré du livre La carte et le territoire, de Michel Houellebecq, née en 1956 c’est un écrivain, acteur et réalisateur, Il obtient le pris Goncourt en 2010. Dans cette extrait Michel nous parle d’une photographie tout en donnant l’illusion d’une réelle scène. Dans mon premier axe je vais parler des descriptions d’image, et dans mon deuxième plan je vais parler du récit cadre et du récit encadré.

Dans un premier temps je vais parler des détails très pointu fournis pas l’auteur. En effet celui ne lésine pas sur l’importance des détails avec « Une chemise blanche, et d’une cravate noire. » Ligne 9. Il montre un décor réel avec une peinture qu’il décrit comme la réalité. Il nous donne l’illusion d’une scène qu’il regarde en insistant sur chaque détail, et en décrivant chaque recoin de cette pièce avec « une baie vitrée » ligne 14. Il insiste aussi sur les personnes qu’il a pris en photo « Barack Obama » ligne 50 ce qui montre une modernité du texte et dans l’esprit de l’auteur étant donner que Barack Obama a été le premier président noir dans l’histoire de toute les USA, malgré le racisme à l’époque du premier mandat du président. Ensuite je vais parler le fais qu’il mette en relief chaque descriptions en effet, entre chaque description différentes il marque une pose en changeant de paragraphe. Dans le premier paragraphe il parle du personnage Damien Hirst en détail. Dans le deuxième paragraphe il parle du décor autour, dans le troisième paragraphe il parle des détails de retouche de ça peinture, dans le quatrième paragraphe il parle de son bureau et du décor.

Dans un seconde temps je vais parler du récit cadre et du récit encadré. En effet le récit cadre et le récit encadré dans ce texte est séparer par un changement de paragraphe pour montrer un changement de fiction. Dans le récit encadré il y a la description du personnage et du décor qui montre la réalité des choses, et dans le récit cadre donc a la séparation des deux fictions il nous montre que ce n’étais qu’une illusion en utilisant des mots d’artiste comme « estompa a la brosse » ligne 25. L’auteur donc nous emmène dans son univers tout en gardant un effet dérisoire d’illusion non contrôlé par le lecteur. En effet celui-ci tombera dans le piège de la fausse réalité, tout en étant dans un monde fictif dans le tableau de Jeff Koons. Dans le texte il utilise une métaphore avec « Il y avait enfin dans son visage quelque chose de sanguin et de lourd, typiquement anglais qui se rapprochait d’un fan de base d’Arsenal » ligne 31-32-33-34, et donc ceci appuie sur le fais qu’il ne retouche pas la réalité mais une photo, un indicateur d’illusion rompu.

Donc dans ce texte on peut dire que l’auteur nous emmène dans un illusion tout en nous montrant que ce n’est pas la réalité. Celui-ci joue avec les mots et les expressions pour maintenir un doute dans la lecture du lecteur. Michel Houellebecq joue beaucoup avec les descriptions pour montrer donc une réel scène sans que celle si ne se produise. Ceci me fais penser au film Le Pianiste, celui-ci nous montre un homme qui mène une vie de satyre alors à cette époque aucun à survécu comme ceci c’est donc une illusion de la réalité retranscris dans un film mais qui ne représente pas la réalité des choses

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