Carnet de lecture en Français en seconde
Chronologie : Carnet de lecture en Français en seconde. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mohammed Henni 2.0 • 19 Mars 2019 • Chronologie • 2 135 Mots (9 Pages) • 948 Vues
Mars 1866. Etienne Lantier, jeune machiniste au chômage pour avoir giflé son chef, erre sur les routes du Nord de la France à la recherche d'un emploi. C'est à la mine du Voreux qu'il rencontre Vincent Maheu, un vieux mineur malade : leur conversation dresse le paysage socio-économique d'une Région touchée par la misère.
A 4 heures du matin, les corons commencent à s'animer. Les mineurs se préparent à aller travailler.
Etienne réussi à se faire embaucher comme « herscheur » aux mines de Montsou où il rencontre la famille Maheu. Il s'éprend de Catherine, la fille Maheu. Chaval, un mineur brutal, est son rival.
On découvre les conditions de travail déplorables des mineurs : puisque les ouvriers sont payés au nombre de wagons, la sécurité au fond des mines est négligée au profit de la rentabilité. Cette négligence leur vaut un blâme. Leur contremaitre menace de baisser les salaires.
Le soir, les mineurs se retrouvent au cabaret « L'avantage ».
[pic 1]
[pic 2]
L'adultère, que la société n'encourage pas généralement, se trouve accepté et pratiqué communément dans le monde ouvrier. Zola, à travers de nombreux exemples tout au long du roman, met l'accent sur le fait que les ouvriers semblent libres d'avoir des relations intimes avec qui ils le souhaitent, y compris en dehors des relations sentimentales conventionnelles. Mais c'est aussi le cas chez les bourgeois Hennebeau :
« Alors, M. Hennebeau ne bougea plus. Il regardait toujours le lit. Le long passé de souffrance se déroulait, son mariage avec cette femme, leur malentendu immédiat de cœur et de chair, les amants qu’elle avait eus sans qu’il s’en doutât, celui qu’il lui avait toléré pendant dix ans comme on tolère un goût immonde à une malade. »
Le triangle amoureux formé par la rivalité de...
[pic 3]
[pic 4]
J Racine, l’homme et l’oeuvre
Andromaque ou l’amour tragique
Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui aime Hector qui est mort
Act 1, sc1Hector est mort lors de la guerre de troie laissant sa veuve Andromaque entre les mains Grecs
Oreste aimouraux d’Hermione, la perd car le père de celle-ci la donne en mariage. Le peuple grec apprend qu’Astyanax est en vie captif de leur roi. Ils désignent Oreste pour aller convaincre Pyrrhus de faire exécuter Astynax.
Oreste revoit Hermione et son espoir d’être aimé par elle renaît.
Hermione, aummoureuse de pyrrhus mais délaisssée par celui-ci, apelle Oreste (prononce nom)
Après la prise de Troie, Andromaque, veuve d’Hector, et son fils Astyanax sont échus en partage à Pyrrhus, roi d’Épire. Celui-ci, déjà fiancé avec Hermione, fille de Ménélas, diffère de jour en jour son mariage parce qu’il est épris de sa captive. Mais Pyrrhus n’a pas compté avec la haine des Grecs contre la race d’Hector. Irrités d’apprendre que le roi d’Épire songe à épouser Andromaque, ils envoient Oreste auprès de lui pour le sommer de leur livrer le jeune Astyanax qu’Andromaque a dérobé à la mort en lui substituant un autre enfant. Oreste, qui aime Hermione malgré les dédains dont elle a payé son amour, a accepté cette mission dans l’espoir de vaincre sa résistance. Pyrrhus refuse d’accéder à la demande des Grecs mais, irrité du refus qu’Andromaque oppose à ses vœux pour rester fidèle au souvenir de son époux, il la menace de livrer Astyanax à ses mortels ennemis. C’est en vain que la veuve d’Hector le supplie en pleurant en faveur de son fils et lui reproche sa cruelle rigueur. Pyrrhus reste inflexible. Andromaque se dévouera donc, mais pour rester fidèle à la mémoire d’Hector, elle est décidée à mourir après la cérémonie nuptiale. À la nouvelle du mariage de Pyrrhus avec sa captive, la fureur d’Hermione ne connait plus de bornes. Elle ordonne à Oreste d’immoler Pyrrhus devant l’autel et lui promet de l’épouser à ce prix. Oreste y consent et assassine Pyrrhus ; mais à peine Hermione a-t-elle appris la consommation du crime, qu’épouvantée, elle repousse le meurtrier avec horreur, l’accable de malédictions et court se tuer sur le cadavre de celui qu’elle aimait. Oreste éperdu, se sent en proie à son tour à toutes les furies vengeresses.
Jean Racine (La Ferté-Milon, 22 décembre 1639 – Paris, 21 avril 1699) est un dramaturge et poète français. Consacré par la critique comme l'un des plus grands auteurs français de tragédies, il est l'un des trois dramaturges majeurs, avec Corneille et Molière, de la période classique en France.
Issu d'une famille de petits notables de la Ferté-Milon et tôt orphelin, Racine reçoit auprès des « Solitaires » de Port-Royal une éducation littéraire et religieuse rare. Se détournant d'une carrière ecclésiastique, il entreprend, jeune, de faire une carrière des lettres1, en privilégiant la poésie et le théâtre tragique. Le succès d’Alexandre le Grand, en 1665, lui confère une solide réputation et lui apporte le soutien du jeune roi Louis XIV. Andromaque, en 1667, ouvre une décennie de grandes créations qui voit, à côté d'une unique comédie (Les Plaideurs, 1668), représentées les sept tragédies consacrées par l’historiographie comme ses plus remarquables : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677).
...