Biographie de Romain Puértolas

Romain Puértolas, est un écrivain du XXIe siècle. Né le 21 décembre 1975 (41ans) il est originaire de Montpellier et issus d’une famille de militaire ce qui ne lui prévoyais pas par logique un avenir d’écrivain. Il est marié et à deux enfants, à qui il rend hommage dans son oeuvre L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea avec la petite phrase dans l’un des toutes première page du livre « Pour Léo et Eva, mes plus belles oeuvres. Pour Patricia, mon plus beau voyage ». Il est devenu un auteur avec une petite notoriété grâce à cette oeuvre plus particulièrement malgré ses autres oeuvres secondaires qui n’ont jamais vraiment étaient reconnues (Comme : Le jour où Shakespeare à inventé le moonwalk notamment .), cela lui à permis de participer à certaines apparitions télé comme ‘’On est pas couché’’ afin de discuter autour de son livre à succès. Il s’impose clairement dans un type de romancier humoristique des temps modernes.

II) «  Il était assez surprenant de voir combien ces artifices, qu’il considérait comme des joyaux de la technologie moderne, étaient d’une banalité affligeante pour les Européen qui n’y faisaient même plus attention (…) Un jour alors qu’il n’avait que dix ans bien avant que le premier signe de progrès ne fût apparu dans son village, un aventurier anglais lui avait dit en lui montrant un briquet : « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. ». Sur le coup l’enfant n’avait pas compris. « Cela signifie tout simplement, lui avait alors expliqué l’homme, que des choses qui sont banales pour moi peuvent sembler de la magie pour toi, tout dépend du degré de technologie de la société dans laquelle tu évolues. » (pages 24/25)

Ce passage m’a tout particulièrement interpellé puisqu’ici nous apprenons que l’extraordinaire reste un fais modulable, et par conséquent propre à chacun et non universelle. Quand certaines personnes de la société considère des choses banales ou encore acquises peuvent véritablement être incroyable et extraordinaire pour d’autre. Nous pouvons poser ce passage dans le domaine de l'extraordinaire puisque c’est fou cette façon de voir le monde selon different points de vue, de different pays. En clair pour un anglais dont le briquet et tout à fait banale un Indien qui n’a jamais vue ça comme Ajatashru Lavash (à prononcer J’attache ta charrue, la vache.)

L’extraordinaire fait donc partis de nos quotidiens à tous à condition d’y prêter attention.

L’extraordinaire est accessible à tout âges, et est même comparé à la magie hors l'extraordinaire lui, des indiscernable de magie.

L'extraordinaire dépend simplement du degré de technologie dans laquelle nous évoluons et de la banalité apporté à cela.

Cependant, plus tard dans le livre que ce moment de son histoire est très loin d’être extraordinaire, puisque cela traite de l’abus des enfants. Ce qui je tiens à le dire me révolte je n’aurais pas choisis ce passage si j’avais sus bien avant la fin. Cette événement qui ce rattache à un événement très grave qui mal heureusement n’est plus extraordinaire puisque la définition même de l’extraordinaire est la rareté de l’événement, mais malheureusement ces événements ne sont plus du tout rare de nos jours.

« Mais il aurait aussi souhaiter lui dire que la vie avait un prix trop élevé pour qu’on joue avec elle, et qu’il n’aurait servi à rien d’arriver en Europe mort, noyé dans la mer, asphyxié dans la cachette exiguë dans la citerne d’un camion essence (…) Il ne fallait pas rester là. Ajarashatru sorti un billet de 500 € qu’il avait garder dans sa poche et fila tout droit en direction de la sortie. Au passage, il frôla le jeune Africain et laissa tomber le billet a ses pieds en glissant un ‘’Good Luck’’ dans sa barbe que l’adolescent ne dut certainement pas entendre. Ca y est, il venait d’aider quelqu’un. Son premier humain. Et c’était d’une facilité déconcertante. En agissant ainsi, une sensation de bien-être envahit de tout son corps. Il sentis une espèce de petit nuage vaporeux naître dans sa poitrine et s’étendre dans toutes les directions vers les extrémités de ses membres. Bientôt le nuage l’enveloppa complètement et Ajatasharu eut l’impression de quitter le sol poussiéreux du port de Tripoli sur un énorme fauteuil moelleux. C’était de loin la meilleure lévitation de toute sa carrière de fakir. » pages 257/258

Ce passage peut être caractérisé d’extraordinaire puisque nous pouvons voir que l’un des plus gros escros qui puise être possible de rencontrer peut au final, devenir quelqu’un de bon capable d’aider les gens, par une action simple mais qui prend tout son sens. Nous comprenons dans ce passage que la situation est dangereuse puisqu’il ne fallait pas rester là, seulement le fakir aurait tant aimé parler au jeune garçon de ce qu’il aime et estime de la vie. C’est extraordinaire la façon dont cette imposteur à risquer sa propre peau, et son propre argent pour aider le jeune qui venait de se faire dépouiller de tout son argent. Le fakir à aidé ce garçon de façon pécuniaire et donc pas d’une manière plus noble que ça, et pourtant, c’était la première fois qu’il aider quelqu’un de sa vie, et cela peut paraitre extraordinaire mais on peut se rendre compte qu’un simple périple imprévu peut totalement changé un homme du tout au tout et qui serait prêt à aider quelqu’un, qu’il ne connait pas, et qu’il puisse se sentir aussi heureux de l’avoir fait. Sur la fin de ce passage, on se rend compte que le fait d’avoir aidé ce jeune, cela lui à procuré énormément de bien être et il en été très heureux, c’est cela qui est incroyable, c’est le sentiment qui peut être provoqué après un acte de bonté désintéressé pour la première fois et passer d’entourloupeur à personne qui puisse aider une personne dans le besoin. L’auteur insiste énormément sur les émotions provoqué par une action extraordinaire du point de vue du héros de l’histoire. Visiblement la sensation d’aider quelqu’un provoque une sentiment extrêmement puissant, et qualifie même la meilleur lévitation de toute sa carrière ce qui prouve par là que le sentiment d’aider les gens est capable de transporter les gens et donc une action extraordinaire peut faire planer tout un être.

Malheureusement, ce qui découle de cette événement est mentionné à la fin du livre, le fakir et sa promise discutent d’un

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