Acte I, En attendant Godot, Samuel Beckett,1952

AUGUSTO Julien   

                       Acte I, En attendant Godot, Samuel Beckett,1952

                      Samuel Barclay Beckett, née le 13 avril 1906 à Dublin et mort le 22 décembre 1989 à Paris, est un écrivain, poète et dramaturge irlandais d’expression principalement française et anglaise.Et s’est vu attribuer en 1969 le prix Nobel de l’écriture.

                  En attendant Godot, un théâtre de l’absurde, qui est découpé en deux actes sans scènes, c’est une pièce anti-théâtre.

                       La pièce est joué sur un plateau vide, juste un arbre sans feuilles pour refléter la pauvreté et le manque de besoins des deux personnages, Estragon et Vladimir. Ils pourraient être n’importe où d’après les didascalies: «Route à la campagne».Cela donne un univers vague, désert qui met une ambiance dés le début.Cette endroit leur semble familier, comme une habitude en évoquant les agresseurs «Toujours les mêmes ?». Puis Vladimir semble choqué d’appris que son amis avait passé la nuit dans un fossé.

Comme le lieu, le temps paraît indéfini on le voit par la stagnation des personnages. D’après les didascalies, l’auteur précise que c’est le soir mais l’époque est pas précisé, la seule évocation est passé, les personnages évoques des années victorieuses vers 1900. Leur futur paraît incertain, des questions sans réponse: «Tout à l’heure, tout à l’heure» comme si ils réfléchissaient à une vie meilleure donc il évolue dans un présent statique entre un passé victorieux, peut être avant la guerre, et un futur incertain comme l’indique le titre, ils attendent.Cette attente est accentuée par le champ lexical de la répétition:recommence, te revoilà et à nouveau. Et aussi un champ lexical de RIEN:Rien à faire, rien et Il n’a rien à voir.

                   Cette acte met un ambiance mystérieuse, on sait pas exactement d’où ils viennent et ni où ils vont donc plongé dans cette attende infini.

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