A pomponne
Fiche de lecture : A pomponne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar murielle mirande • 22 Mai 2020 • Fiche de lecture • 729 Mots (3 Pages) • 668 Vues
Introduction
Mme de Sévigné est née à Paris et elle reçoit une solide éducation qui lui fait apprendre le latin, l’italien et l’espagnol. Epistolière née le 5 fevrier1626 à paris paroisse saint Paul et morte le 17 avril 1696 au château de Grignan. Elle épouse le marquis de Sévigné dont elle devient la veuve, suite à un duel, à l’âge de vingt-cinq ans. Elle se consacre à ses deux enfants et lorsque sa fille la quitte pour suivre son époux, le comte de Grignan en province, c’est un véritable déchirement. Se met alors en place une correspondance à usage intime qui devient célèbre alors qu’elle est encore en vie. Le roi lui-même aura lecture des lettres de Mme de Sévigné devenue écrivain malgré elle.
Au travers de ses échanges épistolaires avec sa fille elle souhaite la faire participer à la vie parisienne, en la tenant informée des événements survenus à la Cour (le centre du monde !). La correspondance de Madame de Sévigné avec sa fille dure près de vingt-cinq ans. La marquise de Sévigné cherche à distraire sa fille qui s'ennuie à Aix-en-Provence parmi la société provençale.
PROBLEMATIQUE
En quoi la lettre que nous allons étudier est elle révélatrice u comportement des courtisans ?
Pomponne : mot gentil pour la destinataire. Surnom.
Rentre directement dans le vif du sujet avec « il faut », c’est une anecdote, le but divertir.
Grammaire : 2 subordonnées relatives introduites par « qui » dans cette première phrase donc complexe.
L’histoire peut commencer avec pour sujet le roi.
présence de 2 courtisans que les 2 femmes connaissent :Saint Aignan, Dangeau.
Roi qui est novice, peu au courant de la démarche…peu au courant c’est une litote pour dire qu’il ne sait pas…
Situation qui se précise : fit l’autre jour un madrigal. décors planté…peu à son gout.
Madrigal : Petite pièce en vers exprimant une pensée fine, tendre ou galante.
Nouveau courtisan.
Récit vivant, discours vivant; intervention de 2 personnages ; le roi oriente le jugement du courtisan avec le terme impertinent. Il ne va pas être déjugé.
Réponse du courtisan : il s’agit de flatter le roi….rappel les animaux malades de la peste, la fontaine.
Le courtisan surenchérit : divinement bien.
2 termes qui dénigrent le madrigal pour flatter le roi ; deux termes péjoratifs : sot, ridicule… Le courtisan confirme. Cela montre l’ambiance qui règne à la Cour où les courtisans ne sont pas solidaires.
Dialogue entre roi et courtisan…respect avec sire… Le courtisan confirme sa réponse initiale et ne juge pas le poème mais l’auteur de ce dernier.
Satisfaction du roi qui se délecte ; il a piégé le courtisan.la phrase prépare la chute. Utilisation du point d’exclamation.
c’est moi qui l’ai fait : mis en relief de l’auteur : Gallicisme(une tournure ou une locution particulière à la langue française, consacrée par l'usage… « C’est... qui... » Ou « il y a... ».)
Embarras du courtisan : point d’exclamation ; terme fort : trahison. prêt à refaire marche arrière, il changera facilement d’avis.il se justifie maladroitement (trop brusquement).
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