Voltaire lettre VI sur les presbytériens

Voltaire, lettres philosophiques sur les presbytériens.

Introduction :

-Quelques question se pose :

          -Pourquoi nous avoir conduit à la Bourse de Londres ?

          -Le parallélisme entre la bourse et la religion n'est pas clair.

-On observe une absence de transition entre les deux paragraphes, et entre le texte et le contexte.

Est-ce que Voltaire n'a pas sauté trop d'idée intermédiaires ? Si il l'a fait, ne l'a-t-il pas fait à dessein ?

I Un récite de voyage intéressant.

-1ère lecture:ce texte se suffit à lui même et se passe de contexte.

-Visite de la Bourse de Londres : lecteurs de 1734, lieu important car elle est la 1ère place bancaire d'Europe.

a)

-Structure : récit de voyage : -Même structure que lettre I et II.

                                                  -Sentiment de présence d'un guide « Entrez... »                                                   -Voltaire tire des conclusions générales.

Dernier paragraphe :

-Forme énergique et syllogistique.

-Il passe du concret à l'abstrait et du particulier au générale.

b)

-Schéma original et riche de signification.

-Il souhaite vanter les avantages du pluralisme religieux.

-Jeu sur la pluralité et l'unité.

-Bourse : représentation unanimes de toutes les nations, et religions :

             -Unité très forte

             -Oublie les particularismes.

-Les individualistes naissent pour devenir des types « juifs » , « Mahométan ».. -Différentes religions mais « rassemblés », « assemblés »  « la même religion » -En sortant de la bourse, l'unité se brise et devient dispersion.

-Mais celle-ci n'est que superficielle « tous sont contents ».

-Le pluralisme religieux n'a pas compromis l'essentiel : l'unité civile et économique.

-Même schéma dans le dernier paragraphe : unité-dispersion-unité.

-Voltaire veut donner à songer à son lecteur :

               -Critique le Catholicisme (sauve leur royaume par la guerre).

               -Dur leçon pour la France où le roi sévit contre bien du monde (les Réformés,                       Jésuites, Déistes).

II-Voltaire va plus loin dans son raisonnement.

-Devons donner un sens à nos hésitations initiales.

-Le texte est la conclusion ds 6 premières lettres dans leur ensemble.

-Il clôt son enquête sur les religions anglaises : double leçon :

                    -Tolérance anglaise, un idéal. Pratique de diverses religions.

                    -Ironie Voltairienne frappe ces rites. Pour lui, tous rites est imbéciles. Pratique                                           indigne de l'Homme ( laissent placent au déisme). Transition à la lettre 7.

-Lieu de la Bourse est étonnant.

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